On parler beaucoup ces derniers temps de la Suisse, à propos du dialogue interreligieux.
Mais on en parle un peu trop du côté de la “votation” sur les minarets.
Et pas assez pour cette affaire que je découvre sur le Salon beige (ici), via Ad majorem Dei
gloriam (là) : deux jeunes filles catholiques suisses sont sequestrées par leur père dans un village
du Liban sous contrôle du Hezbollah et l’une d’entre elles va être mariée de force.
Je veux bien que l’on dise que l’interdiction de construire de nouveaux minarets soit une effroyable atteinte à la liberté religieuse. Mais je trouve que les médias sont bien discrets sur cette
autre affaire. Or, c’est cela aussi la réalité…