Entre le 16 et le 26 juillet, ma consœur et amie Jeanne Smits a publié sur son blogue (membre du portail Riposte Catholique) sa traduction inédite d’une conférence de premier intérêt du cardinal Raymond Burke, traduction entièrement revue par le préfet du Tribunal suprême de la signature apostolique, qui lit parfaitement le français comme je puis en témoigner moi-même…
Cette conférence fut prononcée lors du 5ème International World Prayer Congress organisé à Rome du 5 au 10 octobre 2010 par Human Life International et co-patronné par Helpers of God’s Precious Infants (Autriche), la World Federation of Catholic Medical Associations (Fédération internationale des associations médicales catholiques), World Prayer for Life, Fatima World Apostolate, La Salette Professional Education Center, la European Physicians Campaign (Europäische Ärzteaktion), et la Yes to Life Foundation (Stiftung Ja zum Leben International). À cette époque, l’archevêque émérite de St. Louis (Missouri) n’avait pas encore été élevé à la pourpre cardinalice, et l’on remarquera, dans la liste des parrains de cette exceptionnelle manifestation, l’absence de toute organisation pro-vie française… mais je crois me souvenir que Jeanne Smits y était. L’honneur national est sauf… Le cardinal Burke traita, le samedi 9 octobre 2010, du thème « Catholic Orthodoxie as an Antidote to the Culture of Death » (l’orthodoxie catholique comme antidote à la culture de mort). C’est absolument remarquable, et je vous invite à découvrir la réflexion du cardinal. Vous trouverez ci-dessous le plan de sa conference avec les liens renvoyant à ses différentes articulations. Un grand merci au beau travail de Jeanne Smits, et une immense gratitude pour le cardinal Burke !
Première partie : Introduction
Deuxième partie : Présupposés fondamentaux
Troisième partie : Le Magistère et la promotion de la culture de vie (en deux livraisons, ici puis là)
Quatrième partie : Défis à l’obéissance au Magistère
Cinquième partie : Le Magistère et la vie publique
Sixième partie : Le scandale de la désobéissance au Magistère
Septième partie : Le bien commun et la promotion de la culture de vie
Huitième partie : Conclusion
Comme nous aimerions avoir dans nos rangs de nombreux prélats tel que cet admirable cardinal.
Si par bonheur (pour l’Église) le Bon Dieu le destinait à une plus haute fonction (vous voyez ce que j’entends par là !), ce serait un soulagement et une confirmation que la bonne direction continue d’être prise. Aurais-je le plaisir et la joie de voire cet heureux temps ?
aujourd’hui que la Crapule détruit les états-nations par sa Crise, (après avoir détruit l’héritage médiéval par la “renaissance”, la patristique et al tradition par le protestantisme (et ses avatars conciliaires), la monarchie, les corporations et la famille par la Révolution, les empires chrétiens subsistants par les guerres mondiales, les moeurs, la culture, l’éducation par les révolutions libertariennes.. j’espère que la pensée catholique “orthodoxe” (où ça?où ça? dans quelle paroisse??? j’y cours…) se fera de nouveau un jour entendre ..car je reste sidéré de voir l’obnubilation sur la prétendue “culture de mort”( comme s’il pouvait y avoir une “culture” de la “mort” il n’y a que la Mort qui cultive)
Or la MORT ,la Crapule, le Satan, la gueuse( prenez le mot que vous voulez) cultive son champ dans des proportions bien plus vastes,inédites et insondables…en tout cas non sondées par les princes ecclésiastiques et leurs porte parole…
Supplions et Espérons, même s’il n’y a pas de pénitence ,ni d ‘espoir humain en vue …
Nous avons déjà lu ça sur Riposte catholique et sur le site de Jeanne Smits. C’est rafraîchissant. Bien j’aie lu des critiques sur le Forum Catholique disant que le cardinal restait trop mesuré et professait juste le minimum indispensable. Effectivement dans sa position, peut-être s’impose-t-il une certaine réserve. Après tout il n’est que candidat (potentiel) à la papauté ; il n’est pas encore pape (longue vie à notre bien-aimé Benoît XVI !).
Quoi qu’il en soit, notre bien-aimé (aussi !) cardinal Burke reste très impressionnant, même en simple calotte et sans cappa magna !
BIen cher confrère ! Merci pour ce rappel ; ce que j’aime chez ce cardinal, c’est l’absence de langue de bois.
Je tiens à rappeler que l’abbé Le Coq était lui aussi venu à Rome au nom du Pèlerinage de Chartres, il y avait Jeanne-Marie Laveyssière, la porte-parole internationale de “Comité pour sauver l’enfant à naître”, des représentants de “droit de naître”.
Amitiés
Jeanne Smits