Pour la quatrième fois, la majorité Démocrate du législateur du New Jersey a tenté, par le biais du vote de la loi de finance pour l’année fiscale 2012 de réintroduire le financement par l’État de Planned Parenthood et de ses officines de mort pour les enfants à naître, à hauteur de 7,5 millions de $. Le gouverneur catholique et Républicain du New Jersey, Chris Christie, y a opposé son veto et dès lors que le projet de loi de finance n’a pu rassembler les deux tiers des votes des députés et des sénateurs, la loi ne pouvait être promulguée sans la signature de Chris Christie. Ce projet de financement de la culture de mort avec l’argent des contribuables du New Jersey avait été présenté au scrutin par le sénateur Démocrate et israélite Loretta Weinberg qui a, comme il fallait s’y attendre, dénoncé le veto du gouverneur comme une grave atteinte à « l’accès des femmes aux soins » : c’est le mantra habituel de Planned Parenhood. D’où la réplique de Chris Christie : « Je ne pense pas qu’il soit de l’intérêt de l’État que le sénateur Weinberg s’en tienne à cette caricature de l’accès des femmes aux soins. Les femmes ont un très large accès aux soins partout au New Jersey dans de nombreuses autres cliniques qui sont toujours ouvertes, possédant des qualifications fédérales comme centres de soins, et que notre État finance à hauteur de dizaines de millions de $ chaque année ».
Si Loretta Weinberg tient tant à financer « l’accès des femmes aux soins », c’est-à-dire l’avortement de complaisance, rien ne lui interdit de financer elle-même Planned Parenthood. Je crois qu’elle dispose encore d’une gentille petite fortune même si elle l’a écorné de quelque 1,3 million de $ quand le goût du lucre la fit entrer bien imprudemment dans les carambouilles financières de son coreligionnaire Bernard Madoff…