Autant vous en avertir d’emblée : je ne suis pas un scientifique. De plus, je n’ai qu’une très vague teinture de tout ce qui touche aux « biotechniques ». Mais ce que je sais, c’est que je réprouve toute manipulation de cellules souches embryonnaires – et quelles que soient les allégués effets qu’elles pourraient avoir dans le traitement de maladies (cela n’a jamais été démontré à ma connaissance) –, pour l’unique et simple raison que ces manipulations sont destructrices d’embryons humains, c’est-à-dire d’une vie potentielle. L’enseignement de l’Église supplée en ce domaine à mon peu de connaissances.
C’est donc avec circonspection que je vous transmets une information extraordinaire développée par une dépêche de ce jour de Catholic News Agency des États-Unis (le texte intégral de la dépêche est ici). Selon les experts, il s’agit là d’une « contribution majeure ». Une équipe de chercheurs du Children’s Hospital Boston (le n° 1 des hôpitaux pédiatriques aux États-Unis) vient expérimentalement d’obtenir à partir de simples cellules de peau humaine, des cellules virtuellement identiques aux cellules souches embryonnaires, en un temps record de 17 jours. Ce qui constitue, d’après ce que je comprends, une nouvelle alternative à l’utilisation immorale de cellules souches embryonnaires. Et un argument de plus en faveur de l’arrêt immédiat de tout financement fédéral de la recherche sur les cellules souches embryonnaires décrété avec précipitation par l’administration Obama, une décision aujourd’hui contestée devant les tribunaux.
Cela n’empèche pas obama(niaque?) d’ètre obstiné et de vouloir à n’importe quel prix la recherche embryonnaire!
je viens de transmettre ce message a mes relations medecins (mon epoux venait d’entendre la nouvelle a la Tele et m’en parlait).. certains sont pour l’utilisation des cellules embryonnaires… avec une telle decouverte, je vais pouvoir les convaincre plus facilement..
c’est encore peu sensible, mais je ‘sens’ que nous reprenons du terrain.. GRACE A DIEU !!
Bonjour, je suis en quatrième année de médecine, j’ai étudié pendant 2 ans la morale catholique appliquée au domaine bioéthique, et je peux confirmer:
1 Que la nouvelle est hyperimportante: je la signale à Généthique…
et
2: Qu’effectivement ce ne sont pas les cellulles embryonnaires qui pose problème, mais bien leur mode d’obtention qui impose la destruction d’embryons.