J’ai déjà parlé (ici et là) de ces émouvantes funérailles que l’Église aux États-Unis a accordé aux petits restes des enfants déchiquetés vivants dans le
ventre de leurs mamans, et récupérés par de pieuses mains dans les poubelles des avortoirs : c’est au-delà de la barbarie, car les peuples barbares eux-mêmes offraient l’honneur de la sépulture à
leurs défunts ; nous sommes là véritablement dans un mystère d’iniquité démocratiquement repeinturluré d’une couche de « c’est légal » et d’une autre de « c’est mon choix »… C’est une grande
leçon de catéchisme pratique que nous offre l’Église catholique aux États-Unis en renouvelant ce type d’obsèques, puisqu’elle nous montre, par sa liturgie et l’ensemble des rites sacrés des
funérailles, que ceux à qui Elle a accorde des obsèques catholiques étaient des êtres humains et des créatures de Dieu. Ce qu’on voit marque infiniment plus que ce qu’on lit, et mon opinion est
que c’est bien de parler contre l’avortement, mais que c’est beaucoup mieux de montrer ce que c’est qu’un avortement !
C’est en partie le choix qu’a retenu l’organisation pro Vie américaine des Citizens for a Pro-Life Society (CPLS)
en produisant Requiem for the Disappeared (requiem pour les disparus), un film extraordinairement touchant et montrant à la fois les effets monstrueux de l’avortement et la
compassion de l’Église pour les avortés : haine et amour montés parallèlement dans ce film bouleversant qu’accompagne une merveilleuse chanson, écrite tout spécialement pour cette production,
Tell Me Who I Am (dites-moi qui je suis) qui renvoie aussi au questionnement du Christ à ses Apôtres. Les images des obsèques proviennent des deux cérémonies de funérailles
que j’ai évoquées dans mes articles signalés ci-dessus.
C’est ce film mis par CPLS sur le site de partage YouTube que ce dernier vient de censurer en le retirant le 29 août. Et ce n’est pas la première fois que YouTube agit ainsi
avec les vidéos pro Vie. En outre, YouTube menace de supprimer le compte de CPLS si jamais cette association s’avisait une nouvelle fois de mettre en ligne sur ce site de partage –
évidemment contrôlé par le ”moralement correct” – une autre vidéo de ce type. La justification donnée par ceux qui manient – pour ne pas dire manipulent… – YouTube, c’est que cette vidéo
violait l’interdiction de mettre sur le site des images « destinées à choquer, à scandaliser ou inconvenantes ».
Voyez vous-même si cette vidéo (désormais disponible – mais pour combien de temps ? – sur Yahoo) relève vraiment de la prohibition “YouTubesque”… Et n’hésitez pas à donner vos commentaires
!
ventre de leurs mamans, et récupérés par de pieuses mains dans les poubelles des avortoirs : c’est au-delà de la barbarie, car les peuples barbares eux-mêmes offraient l’honneur de la sépulture à
leurs défunts ; nous sommes là véritablement dans un mystère d’iniquité démocratiquement repeinturluré d’une couche de « c’est légal » et d’une autre de « c’est mon choix »… C’est une grande
leçon de catéchisme pratique que nous offre l’Église catholique aux États-Unis en renouvelant ce type d’obsèques, puisqu’elle nous montre, par sa liturgie et l’ensemble des rites sacrés des
funérailles, que ceux à qui Elle a accorde des obsèques catholiques étaient des êtres humains et des créatures de Dieu. Ce qu’on voit marque infiniment plus que ce qu’on lit, et mon opinion est
que c’est bien de parler contre l’avortement, mais que c’est beaucoup mieux de montrer ce que c’est qu’un avortement !
C’est en partie le choix qu’a retenu l’organisation pro Vie américaine des Citizens for a Pro-Life Society (CPLS)
en produisant Requiem for the Disappeared (requiem pour les disparus), un film extraordinairement touchant et montrant à la fois les effets monstrueux de l’avortement et la
compassion de l’Église pour les avortés : haine et amour montés parallèlement dans ce film bouleversant qu’accompagne une merveilleuse chanson, écrite tout spécialement pour cette production,
Tell Me Who I Am (dites-moi qui je suis) qui renvoie aussi au questionnement du Christ à ses Apôtres. Les images des obsèques proviennent des deux cérémonies de funérailles
que j’ai évoquées dans mes articles signalés ci-dessus.
C’est ce film mis par CPLS sur le site de partage YouTube que ce dernier vient de censurer en le retirant le 29 août. Et ce n’est pas la première fois que YouTube agit ainsi
avec les vidéos pro Vie. En outre, YouTube menace de supprimer le compte de CPLS si jamais cette association s’avisait une nouvelle fois de mettre en ligne sur ce site de partage –
évidemment contrôlé par le ”moralement correct” – une autre vidéo de ce type. La justification donnée par ceux qui manient – pour ne pas dire manipulent… – YouTube, c’est que cette vidéo
violait l’interdiction de mettre sur le site des images « destinées à choquer, à scandaliser ou inconvenantes ».
Voyez vous-même si cette vidéo (désormais disponible – mais pour combien de temps ? – sur Yahoo) relève vraiment de la prohibition “YouTubesque”… Et n’hésitez pas à donner vos commentaires
!