Réalisé par le militant catholique pro vie Randall Terry à Rome au siège du Tribunal suprême de la signature apostolique le 2 mars dernier, cet entretien avec son préfet, Mgr Raymond
Burke, est de très grand intérêt, ne serait-ce qu’en raison du climat actuel aux États-Unis et des attaques frontales auxquelles se livre l’administration Obama contre la vie et contre
l’Église catholique. Vous pourrez découvrir cet entretien ci-dessous en deux parties (la seconde partie est en haut, la première en bas, en raison d’un problème technique sur cet hébergeur de
blogues).
J’en ai la transcription en anglais, mais je ne puis tout traduire, faute de temps. L’archevêque répète pour la nième fois la nécessité d’appliquer le canon 915 pour les politiciens catholiques
obstinés dans leur défense et promotion de l’avortement, met en garde les ministres ordinaires et extraordinaires de la Sainte Communion que les sanctions prévues au canon 915 pourraient aussi
s’appliquer à eux s’ils donnaient la communion en toute connaissance de cause à ces politiciens, invite les fidèles scandalisés par le constat de ces communions sacrilèges à en exiger l’arrêt à
leur curé ou à leur évêque, et voit dans Obama un « agent de mort » non seulement aux États-Unis mais dans le monde entier en raison de son charisme particulier et du rôle que les
États-Unis y tiennent.
Une formidable mise au point qui, sans vraiment me surprendre de la part de l’archevêque émérite de St. Louis, constitue un rappel à l’orthodoxie et un encouragement à mener le bon combat de la
vie.