On s’attend à ce qu’aujourd’hui même, le président Barack Hussein Obama abolissent toutes les restrictions
aux recherches sur les cellules souches embryonnaires qui sont, précisément, destructrices d’embryons humains.
Bill Donohue (photo), président de la Catholic League, vient de réagir vivement à cette perspective :
« Quand le président Bush a imposé des restrictions sur la recherche sur les cellules souches embryonnaires, il n’y avait aucun moyen pour les scientifiques de prévoir l’efficacité inhérentes
aux cellules souches embryonnaires. Mais ce n’est plus le cas. À l’automne dernier, Konrad Hochedlinger, chercheur en cellules souches de l’Université de Harvard, a annoncé qu’il avait pu obtenir
avec douceur que des cellules adultes régressent à un état embryonnaire. Le monde scientifique s’est extasié.
C’est précisément parce qu’il y existe des alternatives éthiques aux meurtre des embryons que la décision d’Obama est doublement fautive : 1. Il est immoral de détruire intentionnellement une vie
humaine en formation, et, 2. Il est encore plus irresponsable d’y recourir quand existent des alternatives moralement acceptables.
Obama s’est engagé sur une pente si glissante que beaucoup de ses partisans pourraient regretter qu’il s’y soit aventuré. Ce n’est pas pour rien que l’Allemagne a les balises éthiques les plus
rigoureuses pour ce qui est des recherches sur l’humain. Notre modèle devrait être l’Allemagne du XXIe siècle – pas celle du XXe ». Le député catholique et Républicain du New Jersey, Chris Smith (photo) avait de son côté déclaré, avant hier, que la recherche sur
les cellules souches embryonnaires destructrice d’embryons humains était non seulement contraire à la déontologie mais qu’elle « ne marchait pas et était peu fiable » et donc qu’elle
était « de manière patente non nécessaire ».
Chris
Smith sait de quoi il parle, puisque député du
New Jersey depuis 28 ans (il avait 27 ans lors de son premier mandat !) est l’auteur du Stem Cell Therapeutic and Research Act (loi sur la recherche et la thérapie à partir des cellules souches), loi qui fut voté en 2005. Elle s’accompagna d’un budget de 265 millions de $ pour la recherche sur les cellules souches contenues dans le sang du cordon
ombilical, puis d’un nouveau budget de 79 millions destiné à la collecte de ce sang. Les résultats furent à la hauteur de l’investissement : des milliers de résultats thérapeutiques dans les
pathologies de leucémies, d’anémies à hématies falciformes, etc. Et bien sûr sans destruction d’un seul embryon.
Une pratique mortifère, immorale et dispendieuse pour le contribuable et qui n’a donné aucun résultat thérapeutique ou une pratique morale, plus économe de l’argent public et non meurtrière et
qui offre déjà de sensibles résultats thérapeutiques… Le choix est évidemment simple et de bons sens. Mais les doctrinaires qui ont pris le pouvoir à la Maison Blanche n’ont aucun bon sens.
Chris Smith, qualifié de « lion de la vie de Capitol Hill » (cette colline de Washington où fut édifiée la Chambre des députés), ce qui va très bien à ce champion du combat pro
vie, ne décolère pas contre les folies de l’administration Obama. Il avait déjà stigmatisé la décision récente de cette administration suintant la mort par tous ses pores, de reprendre le
financement américain de l’officine des Nations Unies allant porter les ravages de l’avortement partout dans le Tiers Monde, et à ceux qui opinèrent que l’opinion américaine n’y prêterait
guère d’attention puisque, après tout, il s’agissait d’avorter des enfants étrangers et non américains, il déclara : « Avec quelle énergie ne nous battrions-nous pas s’il s’agissait de
nos propres enfants ! Eh bien ! ce sont nos enfants ! Nous sommes les gardiens de nos frères et de nos sœurs ». Chapeau bas…
aux recherches sur les cellules souches embryonnaires qui sont, précisément, destructrices d’embryons humains.
Bill Donohue (photo), président de la Catholic League, vient de réagir vivement à cette perspective :
« Quand le président Bush a imposé des restrictions sur la recherche sur les cellules souches embryonnaires, il n’y avait aucun moyen pour les scientifiques de prévoir l’efficacité inhérentes
aux cellules souches embryonnaires. Mais ce n’est plus le cas. À l’automne dernier, Konrad Hochedlinger, chercheur en cellules souches de l’Université de Harvard, a annoncé qu’il avait pu obtenir
avec douceur que des cellules adultes régressent à un état embryonnaire. Le monde scientifique s’est extasié.
C’est précisément parce qu’il y existe des alternatives éthiques aux meurtre des embryons que la décision d’Obama est doublement fautive : 1. Il est immoral de détruire intentionnellement une vie
humaine en formation, et, 2. Il est encore plus irresponsable d’y recourir quand existent des alternatives moralement acceptables.
Obama s’est engagé sur une pente si glissante que beaucoup de ses partisans pourraient regretter qu’il s’y soit aventuré. Ce n’est pas pour rien que l’Allemagne a les balises éthiques les plus
rigoureuses pour ce qui est des recherches sur l’humain. Notre modèle devrait être l’Allemagne du XXIe siècle – pas celle du XXe ». Le député catholique et Républicain du New Jersey, Chris Smith (photo) avait de son côté déclaré, avant hier, que la recherche sur
les cellules souches embryonnaires destructrice d’embryons humains était non seulement contraire à la déontologie mais qu’elle « ne marchait pas et était peu fiable » et donc qu’elle
était « de manière patente non nécessaire ».
Chris
Smith sait de quoi il parle, puisque député du
New Jersey depuis 28 ans (il avait 27 ans lors de son premier mandat !) est l’auteur du Stem Cell Therapeutic and Research Act (loi sur la recherche et la thérapie à partir des cellules souches), loi qui fut voté en 2005. Elle s’accompagna d’un budget de 265 millions de $ pour la recherche sur les cellules souches contenues dans le sang du cordon
ombilical, puis d’un nouveau budget de 79 millions destiné à la collecte de ce sang. Les résultats furent à la hauteur de l’investissement : des milliers de résultats thérapeutiques dans les
pathologies de leucémies, d’anémies à hématies falciformes, etc. Et bien sûr sans destruction d’un seul embryon.
Une pratique mortifère, immorale et dispendieuse pour le contribuable et qui n’a donné aucun résultat thérapeutique ou une pratique morale, plus économe de l’argent public et non meurtrière et
qui offre déjà de sensibles résultats thérapeutiques… Le choix est évidemment simple et de bons sens. Mais les doctrinaires qui ont pris le pouvoir à la Maison Blanche n’ont aucun bon sens.
Chris Smith, qualifié de « lion de la vie de Capitol Hill » (cette colline de Washington où fut édifiée la Chambre des députés), ce qui va très bien à ce champion du combat pro
vie, ne décolère pas contre les folies de l’administration Obama. Il avait déjà stigmatisé la décision récente de cette administration suintant la mort par tous ses pores, de reprendre le
financement américain de l’officine des Nations Unies allant porter les ravages de l’avortement partout dans le Tiers Monde, et à ceux qui opinèrent que l’opinion américaine n’y prêterait
guère d’attention puisque, après tout, il s’agissait d’avorter des enfants étrangers et non américains, il déclara : « Avec quelle énergie ne nous battrions-nous pas s’il s’agissait de
nos propres enfants ! Eh bien ! ce sont nos enfants ! Nous sommes les gardiens de nos frères et de nos sœurs ». Chapeau bas…