La Catholic League a fait
paraître hier un fort intéressant communiqué sur les méthodes du New York Times, un de ces « quotidiens de référence » de la côte Est dont l’anticatholicisme est, comme une forme
de comique, de répétition…
Dans son édition du 26 février, il publie une énorme photo (un quart de page) montrant un prêtre imposant les Cendres à une fidèle. La légende de la photo indique : « Le P. Ed Zogby marque
avec des cendres le front d’une pratiquante au sanctuaire de St. Ann Elizabeth Seton près de Battery Park [bas Manhattan, New York]. Le Mercredi des Cendres est le premier jour du Carême
». Aucun article n’était lié à cette photo qui ne montrait donc (sur un quart de page !) que deux personnes…
La curiosité ayant piqué la Catholic League, elle s’est adressé à cette église pour savoir combien de fidèles avaient reçu les Cendres la veille : plusieurs milliers, lui fut-il répondu.
Elle a aussi su que le photographe dépêché par le New York Times est resté très longtemps à cette cérémonie “mitraillant” sans relâche les milliers de fidèles présents.
Pourquoi la rédaction du quotidien a-t-elle donc décidé de choisir précisément cette photo qui ne montre que deux personnes ? La réponse est dans la question !
Un autre quotidien newyorkais, le New York Post a, lui aussi, le même jour publié un reportage sur le Mercredi des Cendres à la cathédrale St. Patrick. Il écrit que ce fut
« la plus grande assistance à un Mercredi des Cendres de mémoire d’homme ».
On aura compris que le message du New York Post n’est pas exactement celui qu’a voulu faire passer le New York Times…
paraître hier un fort intéressant communiqué sur les méthodes du New York Times, un de ces « quotidiens de référence » de la côte Est dont l’anticatholicisme est, comme une forme
de comique, de répétition…
Dans son édition du 26 février, il publie une énorme photo (un quart de page) montrant un prêtre imposant les Cendres à une fidèle. La légende de la photo indique : « Le P. Ed Zogby marque
avec des cendres le front d’une pratiquante au sanctuaire de St. Ann Elizabeth Seton près de Battery Park [bas Manhattan, New York]. Le Mercredi des Cendres est le premier jour du Carême
». Aucun article n’était lié à cette photo qui ne montrait donc (sur un quart de page !) que deux personnes…
La curiosité ayant piqué la Catholic League, elle s’est adressé à cette église pour savoir combien de fidèles avaient reçu les Cendres la veille : plusieurs milliers, lui fut-il répondu.
Elle a aussi su que le photographe dépêché par le New York Times est resté très longtemps à cette cérémonie “mitraillant” sans relâche les milliers de fidèles présents.
Pourquoi la rédaction du quotidien a-t-elle donc décidé de choisir précisément cette photo qui ne montre que deux personnes ? La réponse est dans la question !
Un autre quotidien newyorkais, le New York Post a, lui aussi, le même jour publié un reportage sur le Mercredi des Cendres à la cathédrale St. Patrick. Il écrit que ce fut
« la plus grande assistance à un Mercredi des Cendres de mémoire d’homme ».
On aura compris que le message du New York Post n’est pas exactement celui qu’a voulu faire passer le New York Times…
Les malins inspiré par le malin…
Je n’ai pas vu la photo, mais s’il n’y a pas d’article, le but est peut-être seulement de montrer le rite des cendres, non d’évoquer une assistance plus ou moins nombreuse ?