Ce qu’on peut maintenant appeler « l’Affaire Pelosi » – ou mieux la « nouvelle Affaire Pelosi » car ce n’est pas
la première fois que cette sotte emperlousée se fait remettre à sa place – provoque un joli tintouin aux États-Unis. Comme j’ai l’esprit plutôt facétieux, cela ne me plonge pas dans la
déréliction. Je m’amuse comme un petit fou à découvrir ces averses d’informations qui pleuvent comme à Gravelotte – mais là, tout ce que je risque c’est d’en mourir de rire.
Interrogé à chaud par Neil Cavuto (photo) sur Fox News, quelques heures aprè
s la rebuffade subie par Madame Speaker au Vatican, Mgr Charles Chaput (photo), archevêque de Denver
(Colorado), enfonce le clou. Voici un extrait du dialogue entre le journaliste et le prélat :
Cavuto – On a des lectures différentes de ce qui s’est dit selon qu’on considère le compte-rendu du Pape ou celui de [Nancy Pelosi], mais l’essentiel de ce qu’a dit le Pape
c’est qu’elle avait le devoir de respecter la vie. Qu’en pensez-vous ?
Chaput – Je pense que c’est tout à fait ça. Tout catholique, qu’il soit célèbre ou inconnu, qu’il ait
une fonction publique ou soit un simple particulier, doit être fidèle à ce que l’Église enseigne sur la vie humaine, et nous croyons que la vie humaine est sacrée et précieuse dès l’instant de la
conception. Et donc cela s’applique aussi bien à la Présidente de la Chambre qu’à moi, qu’à vous et qu’à tout catholique.
Cavuto poursuit en demandant à Mgr Chaput s’il refuserait la Sainte Communion à Nancy Pelosi.
Chaput – J’aimerais bien discuter avec elle si elle venait à l’église dans l’archidiocèse de Denver et je lui dirais ce que je dis à quiconque : si vous n’acceptez pas ce que l’Église
enseigne, vous ne devriez pas vous présenter à la communion, parce que communier signifie que vous êtes d’accord avec ce que l’Église enseigne et, comme je viens de vous le dire, cela s’applique
à chacun de nous.
Cavuto – N’est-elle pas coincée entre d’une part ses convictions catholiques et d’autre part une société qui est pro-choix ?
Chaput – Je ne crois pas que c’est être coincé que de défendre la vérité, que de défendre ce que vous savez être vrai même si d’autres dans la société ne sont pas d’accord avec vous.
Être honnête en matière de principes moraux c’est un signe de maturité, un signe qu’on est un homme d’État ».
Résumé pour ceux qui aurait lu trop vite : Nancy Pelosi n’est ni courageuse ni honnête. Et elle n’a pas la stature d’un homme d’État. Fermez le ban !
la première fois que cette sotte emperlousée se fait remettre à sa place – provoque un joli tintouin aux États-Unis. Comme j’ai l’esprit plutôt facétieux, cela ne me plonge pas dans la
déréliction. Je m’amuse comme un petit fou à découvrir ces averses d’informations qui pleuvent comme à Gravelotte – mais là, tout ce que je risque c’est d’en mourir de rire.
Interrogé à chaud par Neil Cavuto (photo) sur Fox News, quelques heures aprè
s la rebuffade subie par Madame Speaker au Vatican, Mgr Charles Chaput (photo), archevêque de Denver
(Colorado), enfonce le clou. Voici un extrait du dialogue entre le journaliste et le prélat :
Cavuto – On a des lectures différentes de ce qui s’est dit selon qu’on considère le compte-rendu du Pape ou celui de [Nancy Pelosi], mais l’essentiel de ce qu’a dit le Pape
c’est qu’elle avait le devoir de respecter la vie. Qu’en pensez-vous ?
Chaput – Je pense que c’est tout à fait ça. Tout catholique, qu’il soit célèbre ou inconnu, qu’il ait
une fonction publique ou soit un simple particulier, doit être fidèle à ce que l’Église enseigne sur la vie humaine, et nous croyons que la vie humaine est sacrée et précieuse dès l’instant de la
conception. Et donc cela s’applique aussi bien à la Présidente de la Chambre qu’à moi, qu’à vous et qu’à tout catholique.
Cavuto poursuit en demandant à Mgr Chaput s’il refuserait la Sainte Communion à Nancy Pelosi.
Chaput – J’aimerais bien discuter avec elle si elle venait à l’église dans l’archidiocèse de Denver et je lui dirais ce que je dis à quiconque : si vous n’acceptez pas ce que l’Église
enseigne, vous ne devriez pas vous présenter à la communion, parce que communier signifie que vous êtes d’accord avec ce que l’Église enseigne et, comme je viens de vous le dire, cela s’applique
à chacun de nous.
Cavuto – N’est-elle pas coincée entre d’une part ses convictions catholiques et d’autre part une société qui est pro-choix ?
Chaput – Je ne crois pas que c’est être coincé que de défendre la vérité, que de défendre ce que vous savez être vrai même si d’autres dans la société ne sont pas d’accord avec vous.
Être honnête en matière de principes moraux c’est un signe de maturité, un signe qu’on est un homme d’État ».
Résumé pour ceux qui aurait lu trop vite : Nancy Pelosi n’est ni courageuse ni honnête. Et elle n’a pas la stature d’un homme d’État. Fermez le ban !
je m’ammuse aussi de ses informations… C’est agréable un éveque qui ne pratique pas la langue de BOis…