Le P. Frank Pavone, directeur national des Priest for Life, a annexé à sa lettre informatique d’hier, une poignante video : quatre minutes extraites de la cérémonie de funérailles
qu’il a organisé en juillet dernier au monastère Notre-Dame des Anges fondée par Mother Angelica à
Hanceville (Alabama), pour trois enfants avortés. Comme le P. Pavone y invite les destinataires de sa lettre, je tiens à partager avec vous ces quelques images. Elles sont émouvantes,
certes, mais elles montrent quelque chose de plus. Le rituel attentif, précis, sobre et respectueux traduit la sollicitude de l’Église pour ces trois infortunés petits frères en humanité, est à
comparer avec le sort que l’industrie de l’avortement réserve aux enfants avortés : la poubelle !
Mon cher Daniel,
ce n’est pas la poubelle qui attend les déchets humains avortés ou non mais le four crématoire. Il y en a au moins 1 dans chaque hôpital. Je sais que le mot est politiquement incorrect voir copyrighté mais je sais que vous ne vous attardez pas en général à ces considérations.
Il est tristement vrai selon moi d’affirmer que c’est la poubelle qui attend l’enfant avorté ( et non pas l’expression malheureuse employée de «déchet humain». Avant d’arriver au four crématoire, le cadâvre de l’enfant n’est-il pas d’abord jeté dans un contenant que l’on peut tout-à-fait qualifier de poubelle.
Quelle grande dignité dans cette célébration du Père Pavone dans le traitement des dépouilles des enfants qui contraste radicalement avec le traitement donné par les hôpitaux et les cliniques d’avortement.
Monsieur,
C’est par des actions comme la vôtre que les choses peuvent changer.
Je pense en effet que cette forme de résistance est la meilleure.
Avec beaucoup de prière un jour on pourra rétablir “la notion de vie”dans le coeur de l’homme.
Cette cérémonie est très émouvante.
Continuer! et que Dieu vous bénisse!