L’actuelle présidente (House Speaker) de la Chambre des députés du Congrès des États-Unis et première femme à accéder à cette haute
fonction, Nancy Pelosi est une catholique née dans le quartier de la « Petite Italie » de Baltimore, Maryland. Cette politicienne démocrate et libérale (au sens anglo-saxon,
c’est-à-dire progressiste) est une intransigeante avocate de l’avortement, de la manipulation des cellules souches embryonnaires… en gros de tout ce que l’Église catholique interdit et combat.
Elle est donc automatiquement privée de toute communion sacramentelle.
Le 3 août dernier, elle accordait un entretien à Brian Lamb, animateur de l’émission Q and A (Questions et Réponses) sur C-SPAN, une chaîne câblée de Washington
traitant de sujets politiques.
Brian Lamb l’interroge sur le refus par des responsables de la hiérarchie catholique d’admettre à la table de communion les politiciens catholiques partisans de l’avortement.
Voici la réponse de Nancy Pelosi : « Je pense que tout cela ce sont des affaires locales. C’est l’affaire de l’évêque d’un certain endroit, et, heureusement pour moi, la communion ne
m’a jamais été refusée, et je vais communier régulièrement, et ce serait pour moi un sacré choc si on me la refusait ». Et même publiquement puisqu’on a pu voir Nancy Pelosi communier
lors de la Messe célébrée par Benoît XVI à l’occasion de son voyage apostolique aux États-Unis en avril dernier…
Nancy Pelosi a sa résidence principale à San Francisco, en Californie (dont elle est l’élue au Congrès des États-Unis) et séjourne très régulièrement à Washington quand le Congrès est en
session. On attend donc avec une certaine impatience les réactions des archevêques George H. Niderauer et de Donald W. Wuerl, respectivement ordinaires de San Francisco et de
Washington puisque, à bien comprendre ce que Nancy Pelosi déclare, aucun de ces deux archevêques ne semble l’avoir jamais convoquée pour lui expliquer sa situation canonique et
sacramentelle…
fonction, Nancy Pelosi est une catholique née dans le quartier de la « Petite Italie » de Baltimore, Maryland. Cette politicienne démocrate et libérale (au sens anglo-saxon,
c’est-à-dire progressiste) est une intransigeante avocate de l’avortement, de la manipulation des cellules souches embryonnaires… en gros de tout ce que l’Église catholique interdit et combat.
Elle est donc automatiquement privée de toute communion sacramentelle.
Le 3 août dernier, elle accordait un entretien à Brian Lamb, animateur de l’émission Q and A (Questions et Réponses) sur C-SPAN, une chaîne câblée de Washington
traitant de sujets politiques.
Brian Lamb l’interroge sur le refus par des responsables de la hiérarchie catholique d’admettre à la table de communion les politiciens catholiques partisans de l’avortement.
Voici la réponse de Nancy Pelosi : « Je pense que tout cela ce sont des affaires locales. C’est l’affaire de l’évêque d’un certain endroit, et, heureusement pour moi, la communion ne
m’a jamais été refusée, et je vais communier régulièrement, et ce serait pour moi un sacré choc si on me la refusait ». Et même publiquement puisqu’on a pu voir Nancy Pelosi communier
lors de la Messe célébrée par Benoît XVI à l’occasion de son voyage apostolique aux États-Unis en avril dernier…
Nancy Pelosi a sa résidence principale à San Francisco, en Californie (dont elle est l’élue au Congrès des États-Unis) et séjourne très régulièrement à Washington quand le Congrès est en
session. On attend donc avec une certaine impatience les réactions des archevêques George H. Niderauer et de Donald W. Wuerl, respectivement ordinaires de San Francisco et de
Washington puisque, à bien comprendre ce que Nancy Pelosi déclare, aucun de ces deux archevêques ne semble l’avoir jamais convoquée pour lui expliquer sa situation canonique et
sacramentelle…