Je viens de traduire pour le blogue de L’Homme Nouveau un très long texte – plus de 30 000 signes et près de 5 000 mots ! – du
cardinal américain James Francis Stafford, Grand Pénitencier de la Pénitencerie apostolique. Il s’agit là d’un témoignage de première
main et d’une réflexion d’intérêt sur la “réception” de l’encyclique Humanæ Vitæ de Paul VI dans un diocèse
américain, en l’occurrence l’archidiocèse de Baltimore (Maryland), le premier diocèse érigé aux États-Unis, en 1789.
Ce texte, écrit à la demande de L’Osservatore Romano, a été publié en langue anglaise dans le California Catholic Daily du 29 juin 2008, avec l’autorisation de la Catholic
News Agency. Il eût été dommage que cette analyse d’une des conséquences tragiques de la crise post-conciliaire ne fût pas traduit en français. Voilà qui est fait. Vous le trouverez
ici (cliquez sur le lien PDF en pied de la présentation de ce texte dans le blogue de L’Homme Nouveau).
cardinal américain James Francis Stafford, Grand Pénitencier de la Pénitencerie apostolique. Il s’agit là d’un témoignage de première
main et d’une réflexion d’intérêt sur la “réception” de l’encyclique Humanæ Vitæ de Paul VI dans un diocèse
américain, en l’occurrence l’archidiocèse de Baltimore (Maryland), le premier diocèse érigé aux États-Unis, en 1789.
Ce texte, écrit à la demande de L’Osservatore Romano, a été publié en langue anglaise dans le California Catholic Daily du 29 juin 2008, avec l’autorisation de la Catholic
News Agency. Il eût été dommage que cette analyse d’une des conséquences tragiques de la crise post-conciliaire ne fût pas traduit en français. Voilà qui est fait. Vous le trouverez
ici (cliquez sur le lien PDF en pied de la présentation de ce texte dans le blogue de L’Homme Nouveau).