Il ne faudrait pas s’en réjouir trop vite en y voyant un effet “collatéral” de la visite de Benoît XVI aux États-Unis et une
conséquence de son discours lors de sa rencontre avec les représentants du monde universitaire catholique le 17 avril dernier. Toujours est-il que l’Université de San Diego
(Californie) vient de récuser un professeur au motif que la chaire qu’il devait occuper était « symbolique de la théologie catholique et que dans la théologie catholique l’avortement est
rejeté ». De quoi s’agit-il en fait ? De l’attribution à Rosemary Radford Ruether de la chaire de théologie « Monsignor John R. Portman ». Elle fut créée en 2000 par un
généreux donateur anonyme et tire son nom de celui qui fut, de 1967 à 1974, le créateur et le directeur du Département de théologie et d’Études religieuses de cette Université. Alice
Hayes, qui était en 2000 la présidente de cette Université catholique, fondée en 1949, précisait que cette chaire « sera un symbole fort et concret du sérieux attachement de l’Université
à la théologie catholique en tant que discipline académique, et une nouvelle manifestation de son identité catholique ». Parole, parole, parole… En effet, c’est bien l’Université qui a
sollicité Rosemary Radford Ruether pour occuper cette chaire au cours de l’année universitaire 2008-2009. C’est la réaction de nombreuses associations catholiques pro-vie qui a contraint
l’Université à récuser ce curieux professeur. Née en 1936, Rosemary Radford Ruether est une des pires hérétiques de notre temps. Féministe échevelée, membre du conseil d’administration de
Catholic for a Free Choice, la funeste association pro-avortement dite “catholique” – ce qu’elle n’est en aucune façon – elle conteste systématiquement et frontalement toute la doctrine
catholique : je crois, pour avoir étudié son dossier, qu’elle tient pour faux tout ce que les catholiques tiennent pour vrai. Elle n’est en rien catholique ; ce n’est qu’une païenne et féministe
exaltée qui ne se prétend “catholique” que pour subvertir l’Église de l’intérieur – ce qu’elle avoue en toute ingénuité. C’est le « donateur anonyme » de cette chaire qui a imposé sa candidature
à l’Université, ce que cette dernière avait accepté en juin dernier. Que se serait-il passé si les associations catholiques pro-vie n’avaient pas réagi avec la fermeté voulue ? Je vous le laisse
imaginer…
conséquence de son discours lors de sa rencontre avec les représentants du monde universitaire catholique le 17 avril dernier. Toujours est-il que l’Université de San Diego
(Californie) vient de récuser un professeur au motif que la chaire qu’il devait occuper était « symbolique de la théologie catholique et que dans la théologie catholique l’avortement est
rejeté ». De quoi s’agit-il en fait ? De l’attribution à Rosemary Radford Ruether de la chaire de théologie « Monsignor John R. Portman ». Elle fut créée en 2000 par un
généreux donateur anonyme et tire son nom de celui qui fut, de 1967 à 1974, le créateur et le directeur du Département de théologie et d’Études religieuses de cette Université. Alice
Hayes, qui était en 2000 la présidente de cette Université catholique, fondée en 1949, précisait que cette chaire « sera un symbole fort et concret du sérieux attachement de l’Université
à la théologie catholique en tant que discipline académique, et une nouvelle manifestation de son identité catholique ». Parole, parole, parole… En effet, c’est bien l’Université qui a
sollicité Rosemary Radford Ruether pour occuper cette chaire au cours de l’année universitaire 2008-2009. C’est la réaction de nombreuses associations catholiques pro-vie qui a contraint
l’Université à récuser ce curieux professeur. Née en 1936, Rosemary Radford Ruether est une des pires hérétiques de notre temps. Féministe échevelée, membre du conseil d’administration de
Catholic for a Free Choice, la funeste association pro-avortement dite “catholique” – ce qu’elle n’est en aucune façon – elle conteste systématiquement et frontalement toute la doctrine
catholique : je crois, pour avoir étudié son dossier, qu’elle tient pour faux tout ce que les catholiques tiennent pour vrai. Elle n’est en rien catholique ; ce n’est qu’une païenne et féministe
exaltée qui ne se prétend “catholique” que pour subvertir l’Église de l’intérieur – ce qu’elle avoue en toute ingénuité. C’est le « donateur anonyme » de cette chaire qui a imposé sa candidature
à l’Université, ce que cette dernière avait accepté en juin dernier. Que se serait-il passé si les associations catholiques pro-vie n’avaient pas réagi avec la fermeté voulue ? Je vous le laisse
imaginer…
C’est en effet un genre très couru de nos jours. On se dit catholique en s’attaquant à TOUT ce qui constitue l’essence du catholicisme. J’entends, l’Immaculée conception, l’Eucharistie, le mariage des prêtres, la divinité du Christ (aboutissement fatal de la contestation après l’immaculée conception), la sainteté.
Une jeune femme soutenait qu’elle était catholique en m’opposant tous les arguments de sectes protestantes et la parole de Dieu, à ses yeux, semblait heureusement remplacée par les billevesées du Da Vinci Code.
Qu’en est-il exactement avec cette façon de catholiques? Pourquoi n’assument-ils pas d’avoir tourné le dos au catholicisme, même parfois de ne l’avoir jamais été? Est-ce une ruse dans l’espoir déjà vain qu’un jour le mot catholique lui-même soit défini par leurs erreurs?
Bah! On n’a jamais vu Dieu perdre. Sur la terre comme au ciel.
Rien ne sert plus le Malin que celui qui se prétend chrétien tout en violant toutes les prescriptions du christianisme.
Ainsi, des assassins, tortionnaires et violeurs soi-disant “chrétiens” qui, pour faire passer leurs crimes, en appellent chez nous à la solidarité” de leurs “frères”.