C’est en la Fête du Sacré Cœur de Jésus, le vendredi 30 mai dernier, que Mgr Charles Chaput, archevêque de Denver (Colorado) a
ordonné évêque auxiliaire de son archidiocèse Mgr James D. Conley. J’ai évoqué ici ce nouvel auxiliaire dont Philippe Maxence a lui aussi
traité dans un article de son blog. Alors que j’écris ces quelques lignes, l’homélie prononcée par Mgr Conley lors de son ordination épiscopale n’est toujours pas en
ligne, mais elle est annoncée pour bientôt : j’y reviendrai. Tout ce que je peux en dire et que j’ai découvert sur le site du diocèse de Tulsa, dont Mgr Conley était prêtre
diocésai
n, c’est que le nouvel évêque y a rappelé le rôle décisif joué dans sa conversion au
catholicisme par les enseignants de l’Université du Kansas, c’est-à-dire et précisément ceux qui étaient préposés à l’enseignement délivré dans le cadre du Integrated Humanities
Program (IHP) où s’illustra, notamment, John Senior. J’ai aussi sous les yeux l’homélie prononcée par Mgr Conley lors des premières Vêpres de la solennité du Sacré
Cœur de Jésus, donnée la veille de son ordination épiscopale, soit le 29 mai, où le nouvel évêque auxiliaire de Denver évoque, en quelque sorte, l’origine toute française de sa vocation
sacerdotale. Comme beaucoup d’étudiants de l’IHP, Mgr Conley fit une retraite de discernement à Fontgombault – dont, semble-t-il d’après le texte de son homélie, deux moines
étaient présents ce 29 mai. Puis, sac à dos, il prit, à pied, le chemin de Paray-le-Monial, lieu de la révélation du Sacré Cœur à sainte Marguerite-Marie. Il y arriva le 6 juin 1978
et put se loger dans le séminaire, hélas ! vidé de tout séminariste. C’est là qu’il découvrit dans le tiroir du bureau de sa chambre un petit crucifix qu’il porte encore et qu’il a montré aux
fidèles rassemblés ce 29 mai. De façon troublante, ce crucifix portait sur son dos une date « en français », précise l’évêque : 6 juin 1878, autrement dit, cent ans jour pour jour de sa
redécouverte par le nouvel évêque…
ordonné évêque auxiliaire de son archidiocèse Mgr James D. Conley. J’ai évoqué ici ce nouvel auxiliaire dont Philippe Maxence a lui aussi
traité dans un article de son blog. Alors que j’écris ces quelques lignes, l’homélie prononcée par Mgr Conley lors de son ordination épiscopale n’est toujours pas en
ligne, mais elle est annoncée pour bientôt : j’y reviendrai. Tout ce que je peux en dire et que j’ai découvert sur le site du diocèse de Tulsa, dont Mgr Conley était prêtre
diocésai
n, c’est que le nouvel évêque y a rappelé le rôle décisif joué dans sa conversion au
catholicisme par les enseignants de l’Université du Kansas, c’est-à-dire et précisément ceux qui étaient préposés à l’enseignement délivré dans le cadre du Integrated Humanities
Program (IHP) où s’illustra, notamment, John Senior. J’ai aussi sous les yeux l’homélie prononcée par Mgr Conley lors des premières Vêpres de la solennité du Sacré
Cœur de Jésus, donnée la veille de son ordination épiscopale, soit le 29 mai, où le nouvel évêque auxiliaire de Denver évoque, en quelque sorte, l’origine toute française de sa vocation
sacerdotale. Comme beaucoup d’étudiants de l’IHP, Mgr Conley fit une retraite de discernement à Fontgombault – dont, semble-t-il d’après le texte de son homélie, deux moines
étaient présents ce 29 mai. Puis, sac à dos, il prit, à pied, le chemin de Paray-le-Monial, lieu de la révélation du Sacré Cœur à sainte Marguerite-Marie. Il y arriva le 6 juin 1978
et put se loger dans le séminaire, hélas ! vidé de tout séminariste. C’est là qu’il découvrit dans le tiroir du bureau de sa chambre un petit crucifix qu’il porte encore et qu’il a montré aux
fidèles rassemblés ce 29 mai. De façon troublante, ce crucifix portait sur son dos une date « en français », précise l’évêque : 6 juin 1878, autrement dit, cent ans jour pour jour de sa
redécouverte par le nouvel évêque…