Née en 1930, de parents d’origine hispanique et militants syndicalistes, Dolores Huerta, figure emblématique du progressisme américain l’est aussi
du mouvement pro-avortement puisqu’elle est toujours membre du conseil d’administration de la Feminist Majority Foundation qui milite pour le « libre choix », c’est-à-dire le
choix de tuer les enfants à naître. Cette femme est assurément courageuse et son combat contre certaines formes d’injustice sociale ne saurait laisser indifférent, mais il est gâché par cette
contre-culture de mort que les progressistes croient inséparable de leurs combats.
Dolores Huerta avait été invitée par quelques professeurs à traiter du militantisme social à la University of St. Thomas, UST (www.stthom.edu/Public/index.asp?page_id=3), de Houston (Texas), une université catholique fondée en 1947 par la
Congrégation de Saint-Basile et qui se veut très fidèle au Magistère. Elle le fut, une fois de plus, puisque son président le Dr. Robert Ivany (photo) a
annulé sa prestation et a déclaré à son endroit que « l’UST était affligée par sa défense en vue et franche de l’avortement comme choix ». Dolores Huerta a appris cette
“désinvitation” alors qu’elle faisant campagne au Texas pour et en compagnie d’Hillary Clinton, autre avocate de l’avortement, dont elle soutient officiellement la candidature à
l’investiture démocrate depuis mai 2007.
Patrick J. Reilly, le président de la Cardinal Newman Society, CNS (www.cardinalnewmansociety.orgwww.cardinalnewmansociety.org), qui lutte pour restaurer l’identité catholique des établissements d’enseignement supérieur
catholiques aux États-Unis, a salué la décision de Robert Ivany, « un témoignage fort de soutien aux principes catholiques. Il explique clairement qu’aucune université
catholique ne devrait offrir une tribune ou un traitement honorifique à un quelconque défenseur de l’avortement ».
L’UST fait partie des 21 facultés catholiques recommandées par The Newman Guide to Choosing a Catholic College publié par la CNS en novembre
2007.
du mouvement pro-avortement puisqu’elle est toujours membre du conseil d’administration de la Feminist Majority Foundation qui milite pour le « libre choix », c’est-à-dire le
choix de tuer les enfants à naître. Cette femme est assurément courageuse et son combat contre certaines formes d’injustice sociale ne saurait laisser indifférent, mais il est gâché par cette
contre-culture de mort que les progressistes croient inséparable de leurs combats.
Dolores Huerta avait été invitée par quelques professeurs à traiter du militantisme social à la University of St. Thomas, UST (www.stthom.edu/Public/index.asp?page_id=3), de Houston (Texas), une université catholique fondée en 1947 par la
Congrégation de Saint-Basile et qui se veut très fidèle au Magistère. Elle le fut, une fois de plus, puisque son président le Dr. Robert Ivany (photo) a
annulé sa prestation et a déclaré à son endroit que « l’UST était affligée par sa défense en vue et franche de l’avortement comme choix ». Dolores Huerta a appris cette
“désinvitation” alors qu’elle faisant campagne au Texas pour et en compagnie d’Hillary Clinton, autre avocate de l’avortement, dont elle soutient officiellement la candidature à
l’investiture démocrate depuis mai 2007.
Patrick J. Reilly, le président de la Cardinal Newman Society, CNS (www.cardinalnewmansociety.orgwww.cardinalnewmansociety.org), qui lutte pour restaurer l’identité catholique des établissements d’enseignement supérieur
catholiques aux États-Unis, a salué la décision de Robert Ivany, « un témoignage fort de soutien aux principes catholiques. Il explique clairement qu’aucune université
catholique ne devrait offrir une tribune ou un traitement honorifique à un quelconque défenseur de l’avortement ».
L’UST fait partie des 21 facultés catholiques recommandées par The Newman Guide to Choosing a Catholic College publié par la CNS en novembre
2007.