L’association Georgia Right to Life (www.grtl.org) , fondée en 1971, a réussi à faire passer
en première lecture au législateur de cet État du Sud, lundi 18 février, un projet de loi visant à amender la constitution de la Géorgie – nommé « Human Life Amendment »
– pour une protection totale de la vie et une définition constitutionnelle de la personne humaine.
Le projet d’amendement est le suivant : « Considérant le respect des droits fondamentaux et inaliénables de toute personne, garanti par cette constitution [de l’État de Géorgie], le mot
“personne” s’applique à tout être humain, nonobstant son âge, sa race, son sexe, son état de santé, ses fonctions [au sens médical] ou son état de dépendance, ce qui inclut l’enfant non encore né
quelque soit son stade de développement biologique, y compris dès la fertilisation ».
Une seconde lecture de ce projet de loi est prévue ce mercredi.
Pour qu’il puisse être adopté, il faudrait que les deux chambres (députés et sénateurs) l’adoptent chacune à la majorité des deux-tiers, puis que ce projet d’amendement constitutionnel soit
ratifié, à la majorité simple, par un référendum national.
La probabilité d’un tel succès est faible, mais cette initiative qui fait débat – et pas seulement en Géorgie – est louable et méritait donc d’être signalée. Elle montre, en tous les cas, la
vitalité du combat pro-Vie aux États-Unis.
en première lecture au législateur de cet État du Sud, lundi 18 février, un projet de loi visant à amender la constitution de la Géorgie – nommé « Human Life Amendment »
– pour une protection totale de la vie et une définition constitutionnelle de la personne humaine.
Le projet d’amendement est le suivant : « Considérant le respect des droits fondamentaux et inaliénables de toute personne, garanti par cette constitution [de l’État de Géorgie], le mot
“personne” s’applique à tout être humain, nonobstant son âge, sa race, son sexe, son état de santé, ses fonctions [au sens médical] ou son état de dépendance, ce qui inclut l’enfant non encore né
quelque soit son stade de développement biologique, y compris dès la fertilisation ».
Une seconde lecture de ce projet de loi est prévue ce mercredi.
Pour qu’il puisse être adopté, il faudrait que les deux chambres (députés et sénateurs) l’adoptent chacune à la majorité des deux-tiers, puis que ce projet d’amendement constitutionnel soit
ratifié, à la majorité simple, par un référendum national.
La probabilité d’un tel succès est faible, mais cette initiative qui fait débat – et pas seulement en Géorgie – est louable et méritait donc d’être signalée. Elle montre, en tous les cas, la
vitalité du combat pro-Vie aux États-Unis.