Le Saint Père a nommé, le 4 février dernier, la sœur Kateri Mitchell (
à droite sur la photo) consulteur du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux présidé par notre compatriote le cardinal Jean-Louis
Tauran. Cette religieuse américaine est membre de la province des États-Unis de la Congrégation des Sœurs de Sainte-Anne (SSA) fondée au Canada. Elle
est surtout connue aux États-Unis comme au Canada, pour être l’administrateur délégué de la National Tekakwitha Conference
(groups.creighton.edu/tekconf) qui tire son nom de la bienheureuse Kateri [Catherine en algonquin]
Tekakwitha (née en 1656, baptisée en 1676, + 17 avril 1680), cette pieuse indienne, Algonquine par sa mère et Mohawk par son père, évangélisée par des missionnaires jésuites français, et qui fut déclarée vénérable par Pie XII, le 3 janvier 1943, puis bienheureuse par Jean-Paul II,
le 22 juin 1980 : c’est la première Améridienne à l’être. La sœur Kateri Mitchell elle elle-même Mohawk (du clan de la Tortue), une des cinq nations de la confédération
iroquoise, dont l’aire géographique s’étend sur le Québec, l’Ontario et le nord-est des États-Unis. La National Tekawitha Conference (qui a succédé à la Tekawitha
Missionary Conference fondée en 1939) est une organisation catholique d’Indiens nords-américains qui entendent proclamer leur foi et leur culture propre sous « la protection de la
bienheureuse Kateri Tekakwitha » dont la patronyme signifie, en algonquin, « celle qui cherche son chemin à tâtons », car cette jeune vierge – qualifiée de ce fait de « lis des
Mohawks » – était à peu près aveugle.
à droite sur la photo) consulteur du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux présidé par notre compatriote le cardinal Jean-Louis
Tauran. Cette religieuse américaine est membre de la province des États-Unis de la Congrégation des Sœurs de Sainte-Anne (SSA) fondée au Canada. Elle
est surtout connue aux États-Unis comme au Canada, pour être l’administrateur délégué de la National Tekakwitha Conference
(groups.creighton.edu/tekconf) qui tire son nom de la bienheureuse Kateri [Catherine en algonquin]
Tekakwitha (née en 1656, baptisée en 1676, + 17 avril 1680), cette pieuse indienne, Algonquine par sa mère et Mohawk par son père, évangélisée par des missionnaires jésuites français, et qui fut déclarée vénérable par Pie XII, le 3 janvier 1943, puis bienheureuse par Jean-Paul II,
le 22 juin 1980 : c’est la première Améridienne à l’être. La sœur Kateri Mitchell elle elle-même Mohawk (du clan de la Tortue), une des cinq nations de la confédération
iroquoise, dont l’aire géographique s’étend sur le Québec, l’Ontario et le nord-est des États-Unis. La National Tekawitha Conference (qui a succédé à la Tekawitha
Missionary Conference fondée en 1939) est une organisation catholique d’Indiens nords-américains qui entendent proclamer leur foi et leur culture propre sous « la protection de la
bienheureuse Kateri Tekakwitha » dont la patronyme signifie, en algonquin, « celle qui cherche son chemin à tâtons », car cette jeune vierge – qualifiée de ce fait de « lis des
Mohawks » – était à peu près aveugle.
Mohawk est le nom anglais (même pas iroquois) des Agniers, c’est le lys des Agniers…en français
http://maranatha.mmic.net/Kateri.html