L’évêque de Cordoue, Mgr Demetrio Fernández, a écrit une lettre pastorale, dans le cadre de la préparation des élections du 22 mai prochain. On y lit notamment:
“La politique est une tâche noble, qu’on assume pour construire le bien commun. Si l’on place en avant ses intérêts propres ou de parti, on corrompt la politique. […]
Nous les catholiques, dans notre société, nous ne sommes pas une minorité ethnique, – toujours très respectable, mais nous représentons 92% de la population actuelle espagnole, qui ne voulons rien imposer à personne, mais qui demandons en même temps qu’on respecte nos droits.”
Et de conclure:
“La promotion de la natalité et la défense de la famille ainsi que de la vie depuis sa conception jusqu’à sa mort naturelle est aujourd’hui un défi de la première importance pour ceux qui travaillent dans le domaine de la chose publique. C’est dans ce domaine que nous jouons l’avenir de notre société. Les jeunes ne regardent pas le futur avec de l’espoir parce que nous leur offrirons du pain et des jeux (aujourd’hui préservatif et boissons à volonté) mais parce que nous leur offrons des valeurs plus élevées et de la stimulation pour le dépassement personnel. Ils sont capables de beaucoup plus, ne les dégradons pas. Un chrétien se présente devant les urnes après avoir demandé que Dieu l’éclaire et le conseille bien. Le vote doit être responsable, parce que, avec notre vote nous contribuons au bien commun. Que dans toutes les paroisses s’élèvent des prières pour ces intentions, qui nous affectent tous.”
ah il est temps que l’Église fasse valoir pleinement la grande sagesse de sa doctrine sociale… des voix cardinalices s’élèvent et identifient la source du problème financier du monde. Le FMI n’est rien d’autre qu’une association de banquiers internationaux, ces créateurs de l’argent-dette. (n’allez pas croire que ce sont les gouvernements des pays qui créent l’argent). Maintenant que les pays ne peuvent plus rembourser (on parle de la Grèce, l’Espagne, le Portugal, etc), ces banquiers réunis sous le vocable de “communauté internationale” et FMI dictent leur volonté à ces pays: ils obligent les pays à céder leur souvereineté et ces banquiers du FMI ont hâte d’imposer leurs désirs à toute la planète…. et ce n’est pas toujours drôle, parlez-en à la femme de ménage de l’Hôtel à New York…
Pour voter j aurais besoin de conseil car je suis tres sensible au respect de l’envirronement.Mais Noel mamère a entaché un peu le partie de mon point de vue organisant des mariages homos.
Existe t il vraiment un partie democrate chretiens dont Christine boutin ferait parti?
Environnement – Caritas in veritate
48. Le thème du développement est aussi aujourd’hui fortement lié aux devoirs qu’engendre le rapport de l’homme avec l’environnement naturel. Celui-ci a été donné à tous par Dieu et son usage représente pour nous une responsabilité à l’égard des pauvres, des générations à venir et de l’humanité tout entière. Si la nature, et en premier lieu l’être humain, sont considérés comme le fruit du hasard ou du déterminisme de l’évolution, la conscience de la responsabilité s’atténue dans les esprits. Dans la nature, le croyant reconnaît le merveilleux résultat de l’intervention créatrice de Dieu, dont l’homme peut user pour satisfaire ses besoins légitimes – matériels et immatériels – dans le respect des équilibres propres à la réalité créée. Si cette vision se perd, l’homme finit soit par considérer la nature comme une réalité intouchable, soit, au contraire, par en abuser. Ces deux attitudes ne sont pas conformes à la vision chrétienne de la nature, fruit de la création de Dieu.
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Un parti écolo qui prône en plus la dénatalité ne peut pas être considéré comme écolo et préserver l’environnement. Il fait allégeance à une déesse Terre!
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Les partis dits chrétiens n’ont jamais vraiment suivi la doctrine sociale de l’Église.
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On en revient à non pas toléré le moindre mal mais au coup par coup apporter son soutien sur des points précis et le faire savoir, pour que les élus (si tant est que la démocratie a encore un sens dans une Europe où les décisions sont majoritairement prises à Bruxelles par des non élus)soient le représentant des électeurs et non pas les bénis oui oui de leur parti.