A l’issue de la via crucis, Benoît XVI a dit quelques mots, au cours desquels il a souligné que dans le « silence » de la mort du Christ, on pourrait ne voir que le « poids du mal », en contemplant sur la croix « le drame de Jésus chargé de la douleur du mal » et « du péché de l’homme ».
Par sa mort en Croix, le Christ « arrive dans le coin le plus sombre de notre vie », pour « nous tendre la main », « nous attirer à lui »: tel est « l’amour suprême de Dieu ». Benoît XVI a invité les chrétiens à « renouveler » leur foi « dans la puissance de cet amour », à croire que « Dieu est capable de vaincre le péché et le mal » et de « nous donner une vie nouvelle, ressuscitée », qui est « germe d’une nouvelle espérance de vie ».