Avant même son élection au souverain pontificat, Benoît XVI avait dénoncé la « dictature du relativisme ».
L’expression paraît peut-être contradictoire, mais la réalité est hélas tragiquement évidente : c’est au nom du « relativisme », et du rejet de la loi naturelle transcendante, que nos sociétés ont réclamé un « droit » à l’extermination des enfant à naître… et qu’elles réclament aujourd’hui un « droit » à l’extermination des vieillards et des handicapés.
Acceptant cette absurdité juridique, nos sociétés postmodernes deviennent aussi totalitaires que la société national-socialiste ou que la société marxiste-léniniste. Voire plus, puisque la « légalité » démocratiste a déjà exterminé plus d’un milliard d’enfants à naître ; c’est-à-dire qu’elle fait environ dix fois plus de victimes que les totalitarismes du XXe siècle !
Oui, il existe une « dictature du relativisme » ! Le Professeur Roberto de Mattei, excellent connaisseur de la pensée du cardinal Ratzinger, puis de Benoît XVI, a donc parfaitement raison de dénoncer cette inhumaine dictature.
Sans une référence explicite à la loi naturelle, nos constitutions sont aussi mortifères que les régimes totalitaires. À la lecture de ce livre, une évidence saute aux yeux : il faut choisir entre loi naturelle et civilisation de l’amour, d’une part, et relativisme et culture de mort, d’autre part !
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