Lu sur la Vie, via le Salon beige, un entretien avec la psychanalyste Sophie Marinopoulos:
“[La souffrance des femmes après un avortement] ne se voit pas ne s’entend pas, n’est pas rationnelle. Pourtant elle s’exprime ! Sur le mode somatique, comportemental, relationnel, à travers des maux de ventre, de tête, des pleurs ou une certaine irritabilité. Les femmes en souffrance sont tristes ou se replient sur elles-mêmes, longtemps parfois après une IVG. Il ne faut pas banaliser ces symptômes, mais au contraire mettre ces maux en mots”.
Malheureusement, elles ne sont pas que tristes et désespérées, mais ont les retrouvent souvent dans les hôpitaux psychiatriques. Allez donc y faire une visite et vous serez édifiés.
Merci !
JFL