Une nouvelle étude menée conjointement au Royaume-Uni et aux Etats-Unis révèle que les pilules contraceptives de troisième génération sont jusqu’à trois fois plus susceptibles que les pilules « classiques » de provoquer des accidents thromboemboliques – et donc la thrombose profonde et l’embolie pulmonaire.
Susan Jicks et ses collègues de l’école de médecine de Boston University parlent d’une différence « spectaculaire » les deux types de contraceptifs : les pilules de troisième génération (Yaz ou Jasmine en France) contenant du drospirenone ont entraîné davantage de procès judiciaires médicaux aux Etats-Unis que les autres pilules et sont davantage notées comme ayant provoqué des accidents dans les bases de données de la Recherche sur la pratique médicale au Royaume-Uni.
Les pilules de troisième génération, devrait-on ajouter, agissent davantage que les plus anciennes en empêchant la nidation de l’œuf fécondé – action contragestive, donc – plutôt que par une action anovulante.
Les scientifiques qui ont mené l’étude estiment qu’il serait plus prudent, en l’absence d’autres facteurs, de ne plus prescrire en premier lieu les pilules de troisième génération, puisqu’elles n’offrent pas de meilleurs résultats en ce qui concerne la contraception elle-même, la réduction du syndrome pré-menstruel, le traitement de l’acné ou l’évitement de la prise de poids, assurent-ils.
A vrai dire le risque accru lié au drospirenone est connu et discuté depuis les années 1990 au moins. Cette étude la confirme de façon nette et inquiétante.
L’étude américaine fait état de 30,8 embolies non fatales pour 100.000 « années femmes » (pour 30 années d’utilisation cela ferait quelque 3.333 femmes tout de même).
Et bien sûr, cela ne tient pas compte des autres dangers, inconvénients et effets précocement abortifs de la pilule, qu’elle soit « classique » ou non.
Chère Jeanne Smits, est-ce possible et est-ce vrai ?
Je lis sur un site catholique polonais
http://fronda.pl/news/czytaj/za_wielkopostna_jalmuzne_wspieraja_aborcjonistow
l’information ci dessous :
(TRADUCTION )
« L’aumone de careme soutenant les avorteurs »
22 avril 2011
A quoi peut-on destiner les aumones de Careme ? L’Epicopat Français –plus concrètement une organisation qui en dépend – n’a en cette matière aucun doute : aussi bien, au soutien des avorteurs que des féministes.
Le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement (CCFD) qui s’occupe, entre autres, de distribuer le fruit des quetes réalisées dans les paroisses françaises durant la période de Careme, finance deux organisations latino-américaines qui promeuvent l’assassinat des non-nés :INDESO Mujer en Argentine et le Centre Antonio de Montesinos pour les Etudes Culturelles Sociales au Mexique.
INDESO Mujer en Argentine se prononce ouvertement pour « le droit des femmes à avorter » ainsi que pour « le total accès au moyens contraceptifs », positons contraire à l’enseignement catholique . Ses dirigeants ont par ailleurs pris part à 28 campagnes pour la dépénalisation de l’avortement en Amérique Latine et dans les Caraibes. Du coté de cette organisation on apprend que celle –ci reconnaît que chacun a droit à l’acte sexuel « indépendamment de son age, son état civil ou de son modèle familial ».
On retrouve la meme position dans le Centre Antonio de Montesinos pour les Etudes Culturelles Sociales au Mexique. Ses militants sont auteurs de rapports dans lesquels l’Eglise Catholique est vilipendée à cause de ses positions contraires à l’assassinat des non-nés. Les moyens financiers servent aussi à soutenir certains pseudo-catholiques du style « Catholiques Pro-Choix » .
BSz/LifeSiteNews