Ce n’est pas la première fois que j’alerte sur ce misérable personnage 1. Harry
Knox est un cathophobe primaire, secondaire et crétacé supérieur. Qu’Obama l’ait nommé à l’Advisory Council on Faith-Based and Neihgborhood Partnership,
ne surprendra que les imbéciles. Obama est un cathophobe primaire, secondaire et crétacé secondaire (mais avec palmes ! c’est le Président…), et il s’entoure de gens de sa sorte
ou soutient et encourage tous les dissidents catholiques (voir ici
par exemple) avec une constance remarquable.
Harry Knox a fait hier la leçon au cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d’État du Vatican, à propos de ses déclarations “controversées” – mais ô combien justes
– selon lesquelles la question des prêtres dits “pédophiles” était d’abord et avant tout une question de prêtres homosexuels. Cela fait des années que je le dis, mais tout le monde s’en fiche
(sauf les lecteurs d’americatho, évidemment…).
Voici les déclarations de Knox, par ailleurs porte-parole de l’Human Rights Campaign
:
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« En tant que pasteur [Bertone] devrait passer ses nuits et ses jours à guérir les blessures
infligées par l’Église aux victimes des prêtres pédophiles (…) au lieu de détourner l’attention sur ces décennies de camouflage par le Vatican de comportements pédophiles.»
Et voici la riposte de Bill Donohue, de la Catholic League, avec laquelle je suis en
accord à 150 % sur cette affaire :
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« Harry Knox a un long et hideux passé d’infliger des raclées au pape, de médire contre les
Chevaliers de Colomb, de faire la leçon aux prêtres, etc. Le voici de retour, disant au cardinal Bertone ce qu’il convient qu’il dise et comment il doit faire
son boulot. Et tout cela venant d’un homme qui non seulement n’est pas catholique mais qui a été refusé à l’ordination par la United Methodist Church et la United
Church of Christ en raison de son mode de vie homosexuel. -
C’est un fait qu’il y a un lien indiscutable entre la montée de l’homosexualité dans le sacerdoce et les abus sexuels
(…). Le temps est vraiment venu pour qu’on ait une discussion sur ce sujet. -
En attendant, l’administration Obama doit décider si elle peut continuer à défendre Harry
Knox. Nous avons déjà demandé que Harry Knox soit fichu à la porte. Nous réciproquons cette demande aujourd’hui. »