Mlagré les tragédies, n’oublions pas que nous sommes entrés dans “l’an de grâce” 2011 et que le Salut est déjà venu en notre humanité. Benoît XVI déclarait lors des vêpres du 31 décembre:
« Notre temps humain est si chargé de maux, de souffrances, de drames en tout genre – de ceux provoqués par la méchanceté des hommes à ceux découlant des événements naturels malheureux – mais renferme désormais et de façon définitive et ineffaçable la nouveauté joyeuse et libératrice du Christ Sauveur. »