Dans un communiqué, Mgr Aillet, évêque de Bayonne, écrit :
pourquoi le gouvernement et le Parlement prévoient-ils d’élargir les conditions de dérogations, qui seraient autorisées, non plus seulement à des fins dites «thérapeutiques», mais à des fins simplement «médicales» ? Quelle que soit l’action des groupes de pression qui sous couvert de «progrès scientifique», défendent en réalité les intérêts mercantiles et financiers d’une certaine industrie pharmaceutique, cette «chosification» de l’embryon humain, qu’on réduit à n’être qu’un simple matériau de laboratoire, n’est pas acceptable. Le respect dû à l’embryon humain est un principe non-négociable, en faveur duquel les chrétiens et tous les hommes de bonne volonté doivent se mobiliser et demeurer vigilants.