En nota-bene de son dernier article sur le motu proprio, déjà commenté ici, et signé Romano Libero, Golias a finalement ajouté une précision que je salue comme il se doit :
NB : A nos lecteurs : par pure inadvertance, suite à une erreur de mail, une copie d’un texte paru dans Summorum Pontificum Observatus a remplacé le texte véritable de notre collaborateur Romano Libero, que voici ci-joint. Avec toutes nos excuses.
Même si les excuses ne s’adressent qu’aux lecteurs de Golias et non aussi à SPO (et à ses lecteurs), nous mettrons là encore sur le fait de « l’inadvertance » ce léger oubli qui malgré tout rend à César ce qui est à César (ou plus exactement fait que Golias rend à SPO-David ce qui lui appartient), même si nous ne sommes pas des tenants forcenés d’une laïcité hargneuse mais les tenants d’une saine (et pourquoi pas, sainte) distinction entre le temporel et le spirituel. Comme dit le proverbe, il est toujours temps de bien faire, puisque entre ce nota-bene et nos remarques sur ce sujet, les jours auront coulé comme un long fleure en Tibre et Seine.