C’est un film américain qui prêtera à moins d’interprétations controversées que « 4 mois, 3 semaines, 2 jours », encore qu’il tourne autour de la grossesse
et ne traite qu’indirectement de l’avortement, c’est une œuvre cinématographique 100% pro-Vie. Ce film, qui a reçu le prix du public au Festival de Toronto de 2006 (ce qui, généralement qualifie
pour une “nomination” aux Oscars d’Hollywood), s’intitule « Bella » – surtitré sur les affiches originales « Célébrons la Vie » – et connaîtra une sortie nationale aux
États-Unis le vendredi 26 octobre prochain, après avoir connu un énorme succès au Canada. C’est une histoire “romantique” qui veut montrer la puissance de guérison que l’amour possède. Elle se
passe au cours d’une seule journée à New York, au cours de laquelle deux “latinos”, Nina (interprétée par Tammy Blanchard), une jeune serveuse dans un restaurant
mexicain, enceinte, découvre José (interprété par Eduardo Verastegui), un ancien champion de foot reconverti en cuisinier dans ce même restaurant. « Bella
» a été écrit et mis en scène par le réalisateur d’origine mexicaine – mais naturalisé américain – Alejandro Monteverde, qui est le parfait exemple de ce qu’un nouveau
citoyen peut apporter de positif au pays qui l’adopte. Mais mon intention n’est pas de raconter ce film dont je n’ai vu que deux bande-annonces qui m’ont bouleversé (voyez-les à www.bellathemovie.com/site/). Attendons la sortie du film sur les écrans américains : il y aura des réactions… Et espérons-le vite en France. Ce dont je
voudrais vous parler, c’est de l’acteur qui interprète le rôle principal dans « Bella » : Edouardo Verastegui.
Ce jeune acteur (il a 33 ans) est né au Mexique où il a fait une première partie de sa carrière professionnelle comme mannequin, chanteur et acteur de “soaps”. Très beau gosse [voyez son
portrait ci-contre : ce qu’il porte autour du cou, ce n’est pas un collier mais un chapelet…], déclenchant de véritables hystéries lors de ses concerts, riche, célèbre, adulé tout le
conduisait sur le chemin de perdition : « Les choses qui me faisaient avancer en aveugle, c’était la vanité et l’amour de soi. Je vivais dans une contradiction permanente : je voulais bien
agir et je ne le faisais pas ». Verastegui va retrouver la foi catholique en commençant une seconde carrière à Los Angelès aux États-Unis, une foi profonde qui est pour lui
« un don que Dieu lui a fait par ses parents », de pieux catholiques. Son métier de comédien, où il excelle et qui a fait de lui l’acteur “latino” le plus recherché à Hollywood, ne
l’éblouit plus : « Si pour changer de route afin de suivre le Christ je dois abandonner mon métier, j’en rends grâce à Dieu. Je suis libre. Vous savez pourquoi ? Parce que je ne suis pas né
pour être une star. Je suis né pour être un saint, tout comme vous ». Il se refuse, dans ses films, à toute scène sexuelle car ce n’est rien d’autre qu’un « adultère légal » : «
Je ne veux rien faire qui offense Dieu. Un point c’est tout. Quand vous tuez quelqu’un dans un film, en fait vous ne tuez personne. Mais quand vous embrassez quelqu’un, c’est vraiment un baiser
». Belle méditation chrétienne sur le “paradoxe” du comédien…
Acteur catholique, Verastegui est aussi un ardent militant pro-Vie et la voix la plus puissante qui se soit élevée contre la légalisation de l’avortement à Mexico City.
L’avortement « est un épouvantable holocauste dans lequel des millions d’innocents sont “légalement” tués ». Une affirmation qu’il ne cesse de marteler à longueur d’interviews – et elles
sont fort nombreuses ! Il a gardé sa nationalité mexicaine mais réside à Los Angelès où il a créé Metanoïa, une maison de production de film catho (qui a produit précisément
« Bella ») et une association pour aider les Californiennes enceintes mais en difficulté à ne pas avorter. Beau gosse et belle âme.
et ne traite qu’indirectement de l’avortement, c’est une œuvre cinématographique 100% pro-Vie. Ce film, qui a reçu le prix du public au Festival de Toronto de 2006 (ce qui, généralement qualifie
pour une “nomination” aux Oscars d’Hollywood), s’intitule « Bella » – surtitré sur les affiches originales « Célébrons la Vie » – et connaîtra une sortie nationale aux
États-Unis le vendredi 26 octobre prochain, après avoir connu un énorme succès au Canada. C’est une histoire “romantique” qui veut montrer la puissance de guérison que l’amour possède. Elle se
passe au cours d’une seule journée à New York, au cours de laquelle deux “latinos”, Nina (interprétée par Tammy Blanchard), une jeune serveuse dans un restaurant
mexicain, enceinte, découvre José (interprété par Eduardo Verastegui), un ancien champion de foot reconverti en cuisinier dans ce même restaurant. « Bella
» a été écrit et mis en scène par le réalisateur d’origine mexicaine – mais naturalisé américain – Alejandro Monteverde, qui est le parfait exemple de ce qu’un nouveau
citoyen peut apporter de positif au pays qui l’adopte. Mais mon intention n’est pas de raconter ce film dont je n’ai vu que deux bande-annonces qui m’ont bouleversé (voyez-les à www.bellathemovie.com/site/). Attendons la sortie du film sur les écrans américains : il y aura des réactions… Et espérons-le vite en France. Ce dont je
voudrais vous parler, c’est de l’acteur qui interprète le rôle principal dans « Bella » : Edouardo Verastegui.
Ce jeune acteur (il a 33 ans) est né au Mexique où il a fait une première partie de sa carrière professionnelle comme mannequin, chanteur et acteur de “soaps”. Très beau gosse [voyez son
portrait ci-contre : ce qu’il porte autour du cou, ce n’est pas un collier mais un chapelet…], déclenchant de véritables hystéries lors de ses concerts, riche, célèbre, adulé tout le
conduisait sur le chemin de perdition : « Les choses qui me faisaient avancer en aveugle, c’était la vanité et l’amour de soi. Je vivais dans une contradiction permanente : je voulais bien
agir et je ne le faisais pas ». Verastegui va retrouver la foi catholique en commençant une seconde carrière à Los Angelès aux États-Unis, une foi profonde qui est pour lui
« un don que Dieu lui a fait par ses parents », de pieux catholiques. Son métier de comédien, où il excelle et qui a fait de lui l’acteur “latino” le plus recherché à Hollywood, ne
l’éblouit plus : « Si pour changer de route afin de suivre le Christ je dois abandonner mon métier, j’en rends grâce à Dieu. Je suis libre. Vous savez pourquoi ? Parce que je ne suis pas né
pour être une star. Je suis né pour être un saint, tout comme vous ». Il se refuse, dans ses films, à toute scène sexuelle car ce n’est rien d’autre qu’un « adultère légal » : «
Je ne veux rien faire qui offense Dieu. Un point c’est tout. Quand vous tuez quelqu’un dans un film, en fait vous ne tuez personne. Mais quand vous embrassez quelqu’un, c’est vraiment un baiser
». Belle méditation chrétienne sur le “paradoxe” du comédien…
Acteur catholique, Verastegui est aussi un ardent militant pro-Vie et la voix la plus puissante qui se soit élevée contre la légalisation de l’avortement à Mexico City.
L’avortement « est un épouvantable holocauste dans lequel des millions d’innocents sont “légalement” tués ». Une affirmation qu’il ne cesse de marteler à longueur d’interviews – et elles
sont fort nombreuses ! Il a gardé sa nationalité mexicaine mais réside à Los Angelès où il a créé Metanoïa, une maison de production de film catho (qui a produit précisément
« Bella ») et une association pour aider les Californiennes enceintes mais en difficulté à ne pas avorter. Beau gosse et belle âme.
Bravo à Bella et à cet acteur.
Longue vie à votre blog !
Amicaelemnt