Jorge Branco, président de la Commission nationale de santé maternelle et néonatale, a plaidé lundi pour une modification du code de la déontologie de l’Ordre des médecins afin d’accueillir la pratique de l’avortement. « Il est impensable que l’Ordre affiche une position dissonante par rapport aux lois de l’Etat », a-t-il déclaré lundi au Diario de Noticias.
Et le référendum ? Quoi qu’en disent les socialistes portugais, qui assurent vouloir seulement « dépénaliser » par exception sans toucher à la « criminalisation » générale de l’avortement, ce n’est (à mon avis) qu’une forme de la dynamique de groupe pour faire progresser l’idée du droit à l’avortement.
Finalement les évêques portugais vont apparemment prendre position.