Le représentant de l’Ordre des médecins, Pedro Nunes, a souligné que de nombreux médecins seront objecteurs de conscience devant le fait d’organiser, de pratiquer, de financer l’avortement alors que leur code déontologique leur donne le premier devoir de défendre la vie humaine dès son commencement. Mais que la question du début de la vie relève de la conscience de chacun.
Il pense cependant qu’il né faudra probablement pas modifier le code déontologique, soulignant que la dépénalisation relèvera le médecin de son devoir de le respecter. Il a plaidé pour un droit à l’objection de conscience mais en même temps pour l’interdiction d’entraver des avortements autorisés par la loi.
Dictature du relativisme…