Mgr Aguer (archevêque émérite de La Plata en Argentine) a réagi à la note de Rome sur le baptême des personnes “trans” :
“L’inclusion des “transsexuels” par le baptême dans l’Église doit être basée sur la repentance et la chasteté.”
Car “l’Église enseigne que l’accès au baptême doit être lié à un processus de conversion qui prend la forme d’une décision de changer de vie, d’adopter la vie chrétienne.”
“Je pense que l’inclusion d’une personne “trans” dans l’Église a les mêmes exigences que celle d’un homosexuel (et de toute personne). Il est vrai que cette personne ne peut pas remédier aux dommages qu’elle a causés à son identité biologique. Mais le siège de la conversion est la volonté ; elle peut décider d’accepter le mode de vie chrétien qui, parmi les vertus qui le constituent, inclut la chasteté. C’est un changement fondamental pour elle de ne pas vouloir vivre dans la pseudo-identité de son “changement” de sexe qu’elle a assumée par une mauvaise décision. Cela peut sembler difficile, mais c’est l’exigence de la Vérité.”
Et l’aide de Dieu par la grâce ne fait pas défaut pour faire cela.