Mi-septembre, le séminaire Saint-Sulpice d’Issy a communiqué sur la rentrée et le changement de recteur :
“Le 14 septembre dernier, les séminaristes du Séminaire Saint-Sulpice ont vécu leurs journées de rentrée ! Après un temps de repos et d’activités missionnaires durant l’été, les 26 candidats en formation ont retrouvé leur séminaire afin de poursuivre leur formation vers le ministère presbytéral. Ils proviennent des diocèses de l’Île-de-France (Nanterre, Pontoise, Versailles, Créteil) mais aussi de diocèses de Picardie et de Haute-Normandie (Beauvais et Evreux), de Diocèses du Nord de la France (Cambrai) ou bien de l’Est de la France (Langres, Metz, Besançon, Saint-Dié). Parmi ces 26 candidats en formation, 5 d’entre eux vivent une année de formation pastorale en paroisse ou au sein d’une structure scolaire.
Suite à la fin de la mission du Père Diego ARFUCH (sulpicien de la Province du Canada), c’est le Père Emmanuel GOULARD qui assume désormais la fonction de recteur, tout en poursuivant sa mission de Supérieur de la Province de France de la Compagnie des Prêtres de Saint-Sulpice. Et le conseil des formateurs se compose de deux prêtres sulpiciens (P. Jean-Marie BRAUNS et P. Pamphile LEGBA), d’un prêtre du diocèse de Metz (P. Vincent MEYER) et d’une mère de famille (Mme Bibiane de CORDOÜE).
Que le Seigneur bénisse cette nouvelle année de formation afin que chaque séminariste puisse discerner la volonté du Seigneur et s’engager dans une réponse ferme et généreuse à servir l’Eglise.
Nous sommes invités à prier pour les vocations sacerdotales dans nos diocèses, et pour les vocations sulpiciennes.
P. Emmanuel GOULARD, Recteur du Séminaire Saint-Sulpice”
Un nouveau recteur en 2022 qui s’est vite retiré
Le communiqué ne précise pas qu’à la rentrée 2022, le père Emmanuel Goulard annonçait avoir choisi pour lui succèder le père Diego Arfuch, membre du conseil du séminaire depuis deux ans… il n’a donc été recteur qu’un an et a été remplacé par son prédécesseur. Argentin d’origine, le père Diego Arfuch était trésorier des sulpiciens et avait fait parler de lui… dans la presse québecoise en 2020, en réaction à la décision subite des sulpiciens de licencier les professionnels qui veillaient sur leur fonds d’archive, essentiel à l’Histoire du Québec.