L’édifice bâti à la fin du XIXe siècle est l’objet d’un arrêté de péril depuis sept ans. Le Conseil municipal ne l’a pas inscrit dans son budget consacré à la restauration du patrimoine, présenté en janvier. L’ampleur du chantier apparaît telle que la désacralisation, ou plutôt la « désaffectation » s’agissant d’un bien appartenant à la Ville, est sur la table. Des discussions avec le diocèse ont eu lieu. Le vicaire général parle d’une « amorce de discussion », même s’il dit être « ouvert » à toutes les possibilités.
La ville a déboursé 2,4 millions d’euros pour restaurer trois lieux de culte. Le diocèse espère que de nouveaux moyens pourraient être débloqués pour l’église du Sacré-Cœur.