Dans La Croix, l’archevêque de Poitiers exprime les résistances que peut éprouver un évêque devant les conclusions du rapport Sauvé. On pourrait imaginer qu’il s’interroge sur la curieuse méthodologie du rapport, sur le profil partisan de ses rédacteurs, voire sur l’étrange non-condamnation de l’homosexualité et du libertinage, au profit de réformes touchant à l’essence des sacrements. Mais le propos n’est pas là. Mgr Wintzer s’en prend aux victimes “dominées par leurs émotions”, “enfermées dans les violences”…