Un groupe de jeunes nous a adressé cette supplique au Pape François pour la messe traditionnelle.
Nous sommes étudiants et jeunes professionnels catholiques attachés à la messe traditionnelle (dite forme extraordinaire du rite romain ou messe selon les livres de Saint Jean XXIII), unis au Saint-Père et à nos évêques.
Nous sommes des jeunes actifs dans l’Église : aumôneries, scoutisme, groupes de jeunes.
Certains d’entre nous fréquentent parfois, d’autres tout le temps des messes traditionnelles célébrées dans les chapelles et églises de nos diocèses.
Nous sommes attachés à la liturgie traditionnelle qui « irrigue » notre vie de Foi comme elle l’a fait avec nos grands-parents, nos arrières-grands-parents…
Nous sommes meurtris par les divisions de l’Église, mais pleinement conscients que la diversité des charismes est une richesse pour toute l’Église.
Le Motu Proprio publié le 16 juillet est une grande blessure et suscite chez nous beaucoup d’incompréhensions.
« Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures » Jean 14, 2
Nous avons lancé ces jours-ci une supplique au Pape François pour la messe traditionnelle.
Texte de la supplique : https://
Signer la supplique (sur change.org) : https://www.change.org/p/
Ils sont bien gentils ces braves jeunes gens mais ils n’ont pas compris ce qu’est la vraie nature de la révolution.
Il s n’ont pas compris que les autorité de l’Eglise sont des révolutionnaires qui veulent détruire toute la Tradition.
Mgr Perl, secrétaire de la Commission Ecclesia Dei, l’avait dit dans une lettre datée du 18 novembre 1993 (après 1988 et avant le motu proprio de Benoit XVI de 2007) : « L’Indult est une concession qui n’est pas destinée à durer éternellement. […] La célébration de la messe selon le Missel de 1962 est l’exception, la règle, la réforme liturgique introduite par l’Église il y a 25 ans, et suivie par 99% de l’Église. »
Maintenant les révolutionnaires ont décidé que cette concession est terminée.
Très franchement je ne crois pas que le pape cool, branché grand copain des homosexuels et des divorcés remariés va se laisser amadouer par la supplique de ces braves jeunes gens.
Mgr Lefebvre avait vu clair en 1988 quand il refusa les concessions de la Rome moderniste voyant ou cela allait mener.