Notre confrère Le Salon Beige diffuse le communiqué de la Fédération Internationale Una Voce à propos du Motu Proprio du Pape François. La Fédération Una Voce a été fondée en 1967 (alors que quelques associations ‘nationales’ s’étaient déjà constituées un peu avant), constatant déjà à l’époque le risque de disparition du latin et du chant grégorien dans la liturgie.
Depuis sa fondation en 1965, la FIUV a développé ses activités dans l’obéissance et en harmonie avec le Saint-Siège, où nous avons toujours été reçus avec cordialité et ouverture.
Le 16 juillet 2021, le pape François a publié une lettre apostolique donnée motu proprio, Traditionis Custodes, qui établit des restrictions et des limitations strictes sur la célébration de la messe traditionnelle latine.
La Fédération internationale ne peut manquer de noter que la motivation de la nouvelle Lettre apostolique, telle qu’elle est énoncée dans la lettre d’accompagnement du Pontife régnant découle des prétendues attitudes et paroles de ceux d’entre nous qui choisissent la messe traditionnelle, comme l’ont rapporté certains évêques à la Saint-Siège, qui entraînent un «rejet de l’Église et de ses institutions au nom de ce qu’ils considèrent comme la “vraie Église”.» En plus d’un «usage instrumental du Missale Romanum de 1962, qui se caractérise de plus en plus par un rejet croissant non seulement de la réforme liturgique mais du Concile Vatican II, avec l’affirmation infondée et insoutenable qu’il a trahi la Tradition et la « vraie Église ».»
Tant la caractérisation des catholiques attachés à la messe traditionnelle que les nouvelles restrictions sévères qui y sont imposées nous attristent grandement. C’est notre expérience, en tant que représentants de groupes de fidèles, que ce qui attire principalement les gens vers la spiritualité de la messe traditionnelle ne sont pas les discussions théologiques ou pastorales du passé, mais le respect du Sacré et le sens de la continuité de la Tradition, qui ne reste pas une simple aspiration, mais se vit quotidiennement dans le rite vénérable qui s’est lentement développé au cours des siècles et n’a jamais été abrogé.
Certes, comme pour d’autres groupes de fidèles, il n’y a pas d’homogénéité absolue dans les opinions et les attitudes de ceux qui sont attachés à l’ancien Missel. Mais précisément dans leur désir d’assister à cette messe dans le cadre de leurs diocèses et paroisses, ces catholiques expriment implicitement leur reconnaissance de la véritable Église, cum Petro et sub Petro.
Enfin, en tant que fils et filles de l’Église, nous souhaitons exprimer notre tristesse face aux restrictions qui nous empêchent de continuer à nourrir notre vie spirituelle en utilisant les églises paroissiales, comme tout catholique voudrait le faire. S’il y a une chose que nous désirons ardemment, c’est de pouvoir vivre une vie normale sans être obligé d’utiliser des espaces cachés ou inaccessibles.
Nous croyons que les beaux fruits spirituels de ce Missel doivent être partagés, et nous prions pour que nous puissions être des instruments de Dieu à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église.
La Fédération internationale est profondément reconnaissante à chacun des évêques qui pourvoient généreusement aux fidèles attachés à l’ancienne messe dans leurs diocèses et aux prêtres chargés du soin de leurs âmes.
Les groupes Una Voce du monde entier sont unis dans la prière, comme toujours, avec leurs évêques et avec le Pape.
Beaucoup de fidèles se tournent vers nous pour faire connaître leurs désirs, en particulier à Rome, d’une manière qui combine un respect sincère pour l’Église universelle et le Saint-Père, avec un amour des Traditions qui sont finalement indissociables d’eux. Nous sommes attachés à cette tâche, que nous et nos prédécesseurs avons entreprise pendant plus d’un demi-siècle.
Un peu mollasson comme rèaction.
Mais bon, la Fédération ne veut pas faire de la peine au pape actuel, fût- il démagogue, corrompu et autoritaire et préfère, pour nous défendre, se servir d’un pistolet à eau.
On est mal…. (air connu)
Saint Jean Paul II avait raison: “aint Jean-Paul II : « Nous sommes aujourd’hui face à la plus historique confrontation que l’humanité a traversé. Je ne pense pas que la communauté chrétienne le réalise pleinement. Nous sommes maintenant face à la confrontation finale entre l’Église et l’anti-Église, entre l’Évangile et l’anti-Évangile, entre le Christ et l’anti-Christ ».
à Gruber :
“saint Jean-Paul II”…. non, mais vous plaisantez ! Il est d’abord celui qui n’a pas cessé d’imposer les “canons” du concile Vatican II avec toutes les dérives que nous avons subi et payé cher ! Celui qui nous a fait le coup de la rencontre inter-religieuse d’Assise en 1986 “pour la paix” paraît-il, mais en termes de “communication”, ce fut un désastre théologique.
Mais surtout et à la manière de notre actuel président de la République, il posait tous ces gestes désastreux pour la foi et pratiquait le “en même temps” pour dénoncer l’athéisme, le matérialisme, l’apostasie etc. Je crois que cela suffit comme cela. Ouvrons les yeux sur ce folklore de papolâtrerie.
Vous parlez en tant que chrétien je suppose. Alors comportez vous comme tel. Un peu de retenu dans vos paroles et vos jugements. Vous serez jugé à l’aune de vos jugements, le Seigneur n’abandonnera pas son Église, Il l’a promis’ priez et faites confiance, c’est peut être plus difficile que d’invectiver ceux qui vous déplaisent. La violence verbale n’a jamais rien réglé L’Eglise en a vu d’autres. Vous me choquez et défendez mal l’Eglise en l’insultant ainsi. Craignez plutôt Dieu. Mettez en pratique Foi, Espérance et Charité
Un jour, j’ai été catholique, romain par force, c’était l’époque, intégriste comme on disait, à la suite. Après des années de réflexion et quelques avanies du côté du clergé du Barroux, j’ai pris le large et je me suis occupé des hommes, pendant vingt ans, physiquement, pécuniairement, juridiquement en trouvant dans l’exercice d la justice des hommes, des moyens d’en élever la compréhension et l’acceptation.
Puis, à la retraite j’ai donné tout mon temps, sur la demande du clergé lambda à la musique sacrée jusqu’à la fin de cette période perdue dans le méandres de jalousies corporatives.. Du clergé, je n’ai jamais reçu aucune aide, morale j’entends, car matériellement, c’est moi qui fournis. Et quand mon épouse bien aimée est partie de ce monde, je n’en ai reçu aucune marque e sympathie.
En revanche, un patron de bar, tunisien, ‘est assuré que j’ouvrais mes fenêtres et que je n’oubliais pas de manger.
Alors, vos querelles, vos affirmations e vérité, je m’en moque, puisque, devenu un jour nécessiteux, j’ai cessé, provisoirement, de verser à l’abbaye du Barroux, et l’en avoir avertie, j’ai été privée de toute communication, bulletin ou autre information.
Et je n’appartiendrai plus jamais à aucune association chrétienne, car la première chose qu’on me demandera c’est de l’argent, mais jamais d’approcher les questions fondamentales, qui restent l’apanage de la caste,, comme dans le monde civil Par ailleurs, j’aide un prêtre à vivre, depuis 10ans, mais c’est un ami d’enfance, rien à voir avec l’Eglise.
Pour faire bref FduR, on ne saurait confondre la
sainte Église et le pape quoiqu”il dise ou fasse, surtout s’il n’affermit pas ses frères évêques dans la foi, Que cela vous plaise ou non, Jean Paul II à Assise n’a pas affermi ses frères évêques dans la foi. C’est tout le contraire de saint Pie V. Que voulez vous, c’est ainsi et en quoi le rappeler serait-il haineux pour parler comme M. Macron ?
Ai-je écrit quelque chose qui offense la personne du pape Jean Paul II ? J’ai simplement indiqué que parce qu’il était pape, et à raison de ce fait grave, en 1986 , on ne pouvait pas le considérer comme saint sous l’angle du Magistère infaillible. Cela vous choque ?
Je le regrette, mais c’est ainsi et il faut rester dans la vérité enseignée par notre Église.