Interdire la communion sur la langue (y compris dans la forme extraordinaire !) est abus de pouvoir dans lequel bon nombre de nos évêques se sont engouffrés à l’occasion de la crise sanitaire. Le 20 mai, l’évêque de Beauvais a signifié aux prêtres de son diocèse que, dans sa grande largesse, il autorisait de nouveau la communion sous cette forme…