Aux Philippines comme en France, aux Etats-Unis, en Espagne… l’art contemporain a une cible de choix : l’image de Notre Seigneur Jésus-Christ. Une exposition au Centre culturel philippin étalait jusqu’à aujourd’hui des images blasphématoires du Christ en croix et d’autres symboles religieux avec des préservatifs (car l’art contemporain patauge indéfiniment dans la phase « pipi-caca »), ainsi qu’une petite statue du Christ ornée d’oreilles de Mickey et d’un nez de clown, « œuvres » de l’artiste Mideo Cruz.
Le CCF (Centro cultural filipino) a été inondé dès la semaine dernière de messages et de courriels indignés, devenus de plus en plus menaçants au fil des jours, selon les organisateurs.
L’exposition ayant été attaquée la semaine dernière par deux « individus masqués » qui ont arraché des phallus en bois des « œuvres » présentées, le CCF (Centro cultural filipino) a décidé aujourd’hui de fermer provisoirement ses portes « pour des raisons de sécurité ».
Plusieurs groupes catholique avaient protesté contre l’exposition – mais aussi la Conférence épiscopale des Philippines qui avait vigoureusement dénoncé le blasphème et exigé la fermeture de l’exposition qui « insulte les valeurs religieuses ». Le président des Philippines, Benigno Aquino, assure pour sa part avoir téléphoné au CCF pour lui faire part de sa désapprobation. Il a précisé avoir dit que 85 % des Philippins sont catholiques et que le CCF étant financé par l’argent des contribuables, le centre devrait être « au service du peuple ».
« Lorsque vous insultez les croyances de la majorité des gens, je ne vois pas où est le service rendu », a-t-il déclaré : « Aucune liberté n’est absolue. Je ne veux pas imposer la censure. L’art est supposé ennoblir. Alimenter le conflit n’ennoblit pas. »
Ça fait rêver, non ? D’autant que le CCF, tout en protestant de sa volonté de « catalyser la libre expression » des artistes philippins, a annoncé qu’il formera son personnel afin que celui-ci puisse prendre à l’avenir des décisions plus éclairées.
Bien que l’exposition ne soit plus ouverte au public, des groupes catholiques et baptistes entendent poursuivre le CCF sur le plan pénal et administratif car la loi pénale a « déjà été violée » en son article 201 qui punit la « doctrine immorale, les publications et expositions indécentes et obscènes, et les spectacles indécents », et parce que sa responsabilité est engagée.
Ne soyons pas surpris, ces attaques contre Notre Seigneur sont un signe qui n'est pas aussi négatif qu'on peut le croire, car il révèle que le diable sachant que son temps est compté, écume de plus en plus de rage et, comme le disait le Saint Curé d'Ars : ” Il est en colère, tant mieux”.
Il se hâte avec une férocité de désespéré à perdre les âmes, il sait que son règne va prendre fin lamentablement, c'est un indice, et un bon pied de nez en plus à lui faire, mais veillons et prions.
@ Jeanne Smits
Continuez bien votre apostolat, chacun doit utiliser les talents que Dieu lui a confié.
Je suis du même avis que le premier anonyme. Ces attaques du démon sont en réalité un bon signe. Il se sent en plein désarroi.
Bien fait pour le malin ! Sa faim est proche.