Lundi, Mgr de Moulins-Beaufort avait déclaré que les citoyens, catholiques ou non, inquiets du projet de loi sur la bioéthique, ont le devoir de manifester.
Cette sortie n’a pas plus au noyau dirigeant de la CEF et l’abbé Thierry Magnin, secrétaire général et porte-parole de la CEF, plus habitué des revues maçonniques que des Manifs pour tous, a voulu corriger son patron dans le quotidien Le Parisien :
Cette correction a été saluée par les journalistes de gauche, complices du régime de Macron qu’ils n’osent (pas trop) critiquer.
Mgr de Moulins-Beaufort saura désormais que ce n’est pas lui qui décide à la CEF…