C’est ce que constate Yves Daoudal, suite à l’affaire de l’ICES :
« L’audace d’être libre », proclame l’Institut catholique d’études supérieures de La Roche sur Yon. Libre… de se mettre à plat ventre devant le lobby LGBT, et de persécuter ses étudiants…
Je ne voulais pas parler de cette affaire, parce qu’il s’agit de petits cons qui ont fait ce qu’il ne fallait surtout pas faire, et qu’il est arrivé ce qui devait arriver, compte tenu de la puissance du lobby et de ses affidés dans toutes les structures du pouvoir.
Donc forcément le fait de dire « Homofolies ça suffit ! » est une gravissime insulte homophobe, et le fait de crever deux ballons et enlever une banderole est une horrible agression homophobe qui mérite un procès devant le tribunal correctionnel, la réprobation publique, une campagne de presse et une manif contre la haine…
CQFD. La preuve par la stupidité. Car cela se retourne immanquablement contre « les cathos » et on n’en a pas besoin.
Mais ce qui est tout de même ahurissant est que pour ces « faits », qui n’avaient pas de rapport avec l’ICES, la direction de l’ICES a exclu de l’établissement trois étudiants, dont deux définitivement, et neuf autres « avec sursis » et travaux d’intérêt général…
Et le directeur de l’ICES, Eric de Labarre, autoproclamé carpette du lobby, est très fier de prendre ces sanctions délirantes.
Mais il y a pire encore, même si c’est sans la moindre surprise : l’évêque du lieu, Mgr François Jacolin, a refusé de demander la réintégration des exclus et a déclaré que les sanctions sont « justifiées et proportionnées à la gravité des fautes de chacun ».
Car il doit être dit que la dictature LGBT passe aussi par les évêques. Qui nous auront vraiment tout fait.