L’archevêque de Marseille et président de la CEF pensait que le pape allait accepter la démission du cardinal Barbarin :
« Je suis étonné, je ne m’attendais pas à ce scénario qui est intermédiaire entre les deux scénario prévisibles, à savoir l’acceptation de sa démission par le pape ou son refus ».
Une situation qu’il analyse comme un « conflit entre deux exigences » : celle de « respecter le cheminement de la justice » et celle de «se préoccuper du bien du diocèce de Lyon».