Le « Prix Père Jacques Hamel 2019 » est attribué à Christelle Ploquin et au frère Adrien Candiard pour la pièce filmée « Le cinquième évangile » diffusée par le CFRT en octobre 2018.
Une mention spéciale est décernée à Nayla Tabbara et Marie Malzac pour leur livre « L’islam pensé par une femme », publié par les éditions Bayard en octobre 2018.
Vingt-deux candidatures étaient présentées pour cette deuxième édition du « Prix Père Jacques Hamel », créé par la Fédération des médias catholiques, en vue de distinguer un travail journalistique, quel que soit le support (presse écrite, radio-télévision, multimédia), qui met en avant les initiatives de paix et les démarches de dialogue interreligieux.
C’est la captation réalisée par Christelle Ploquin de la pièce « Le cinquième évangile », écrite par le frère Adrien Candiard, dominicain, qui emporte le prix 2019. Le film met en lumière la dimension spirituelle des écrits d’Henri Vergès. Premier religieux assassiné le 8 mai 1994 en Algérie durant les années noires, il a été béatifié le 8 décembre dernier à Oran (Algérie) avec dix-huit religieuses et religieux – dont les moines de Tibhirine et Mgr Pierre Claverie.
Il a été décidé d’attribuer une mention spéciale au livre de Neyla Tabbara, théologienne musulmane libanaise, et Marie Malzac, journaliste au quotidien La Croix. L’islam pensé par une femme, paru aux éditions Bayard, propose une lecture spirituelle de l’islam, avec une approche plus féminine et sensible.
Le prix sera remis aux lauréats le vendredi 1er février à Lourdes, à l’occasion des 23èmes Journées internationales Saint François de Sales, par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen et président du jury.
Le jury présidé par Mgr Lebrun était composé de
- Roseline Hamel, sœur du Père Jacques Hamel ;
- Philippine de Saint-Pierre, directrice de KTO ;
- Christian Makarian, directeur délégué de l’hebdomadaire L’Express ;
- Jean-Marie Montel, directeur général adjoint Bayard et président de la Fédération des médias catholiques.
Dialogue de sourd, par nature et par nécessité, le “dialogue inter-religieux” a valu au père Hamel de se faire trancher la gorge.
Faut-il donc en faire tout un plat ?
Le nom du « Prix Père Jacques Hamel » pour le « dialogue inter-religieux ressemble à une blague de mauvais goût.
C’est un dialogue à couteaux tirés…
@ Moi, n’avait-il pas fourni un terrain derrière l’église pour un culte anti-Christ au moment de la Messe ?
L’Evangile est incomparable.
Le dialogue inter-religieux est la pire hérésie de tous les temps ! C’est bafouer Jésus-Christ !
Il serait plus que temps de sortir de l’hérésie. Lire Apocalypse 18 .4
Des “dialogophiles” récompensent d’autres “dialogophiles”. Rien de nouveau sous le soleil, on se congratule entre soi.
Le seul dommage est d’y mêler le nom de ce pauvre Père Hamel, lui qui s’est bien rappelé qu’il y a des sujets non négociables : c’est bien ce que signifie l’apostrophe du Christ, “Vade retro, Satanas !”, prononcée en français par le P. Hamel peu avant de mourir.
Qui proposera la prochaine fois la candidature de Daniel Hamiche, par exemple ?!!!