Une mère célibataire de 37 ans, Alexandra Nunez, est morte lundi d’un avortement pratiqué dans le « A1 Women’s Center » de New York. Elle laisse quatre orphelins. Selon la police, elle a succombé des suites de la section d’une artère par l’avorteur ; transportée d’urgence vers un hôpital voisin elle a été victime d’une hémorragie massive suivie d’arrêt cardiaque.
La clinique où a eu lieu la tragique erreur médicale est située dans une zone peu fortunée de New York ; elle a obtenu sa licence pour pratiquer des actes chirurgicaux sous anesthésie en juillet dernier. Son propriétaire, Salomon Epstein, a une longue expérience de la pratique de l’avortement ; dans son établissement, on propose également de la chirurgie esthétique…
Des journalistes sur place se sont vu répondre que « tout allait bien » et qu’il ne « s’était rien passé », comme il arrive souvent dans le cas d’avortements qui tournent mal et que les cliniques couvrent par des démentis agressifs, comme le rappelle LifeSite. Il se s’est « rien passé » mais l’enquête policière est bel et bien en cours et ce sont les forces de l’ordre qui ont confirmé la réalité de l’affreux fait divers.
L’avortement fait toujours deux victimes : l’enfant, et la femme – quand celle-ci n’est pas atteinte dans sa chair, voire tuée, elle l’est toujours dans son cœur comme en témoignent des milliers de femmes qui ont osé parler de leur avortement.