Les Scouts et Guides de France avaient publié une tribune dans La Croix pour aider l’Eglise face aux abus sexuels commis par des prêtres :
Et plus récemment, la présidente des scouts et guides de France souhaitait vouloir ne pas « laisser l’Église à ses extrêmes »…
Les Scouts et Guides de France devraient faire le ménage en interne avant de donner des leçons à l’Eglise entière…
D’autres atteintes ont eu lieu à l’occasion de camps scout. Chef de troupe SGDF à Wissembourg, les victimes identifiées sont des jeannettes, qui auraient fait l’objet de massages sous la tente…
Comme dit l’Evangile, il est bon de regarder d’abord la poutre dans son oeil plutôt que la paille dans celle du voisin…
Le 8 novembre, le mouvement a communiqué :
Les Scouts et Guides de France ont appris avec colère et consternation les faits d’agressions sexuelles reprochés à un de leurs responsables.
Nous exprimons tout notre soutien aux victimes, à leurs familles, à leurs proches et aux éducateurs et éducatrices qui sont à leurs côtés. Nous mettrons bien entendu tout en œuvre pour faciliter l’enquête en cours et nous nous porterons partie civile.
La personne interpellée a exercé des responsabilités d’encadrement auprès des jeunes de 8-11 ans depuis 2012. Il avait déjà été encadrant de 1994 à 2000.
A ce jour, nous ne savons pas, parmi les 13 victimes identifiées, combien étaient membres des Scouts et Guides de France ni s’il y a eu d’autres victimes. Dans les prochains jours, une réunion de soutien psychologique sera organisée afin de libérer la parole des jeunes, des familles et des responsables du groupe. Cet accompagnement, collectif et individuel, se poursuivra aussi longtemps que nécessaire. Les activités se poursuivent normalement et les éducateurs et éducatrices recevront un appui pédagogique particulier. Nous invitons les médias à ne pas couvrir les prochaines réunions du groupe ni les rencontres avec les professionnels afin de permettre une liberté de parole totale des victimes et de leurs familles.