L’église Saint Merri, dans le quartier Beaubourg à Paris, est connue pour ses expositions d’art moderne douteuses, et les déclarations controversées de son curé Daniel Duigou… Les sacrilèges sont devenus récurrents dans cette église, toujours consacrée et dédiée au culte : ainsi en avril 2016, l’église a accueilli le concert du groupe ALUK TODOLO, un groupe de « rock occulte » (sic) qui a fait projeter un symbole sataniste sur le triangle symbolisant Dieu, situé au-dessus du crucifix et du tabernacle :
Le symbole lumineux projeté par-dessus le nom de Dieu est l’emblème officiel du groupe ALUK TODOLO : il s’agit de la lettre « A » de l’alphabet Enochien, une langue occulte popularisée par Aleister Crowley pour les rituels magiques d’invocation de démons. Voir ici pour plus de détails.
Il y a beaucoup à dire sur ce qui se passe à Saint Merri, sous couvert d’évènements artistiques…voici un bref aperçu des faits :
- Le confessionnal de l’église Saint Merri a servi de cabinet de voyance à une astrologue qui tire les tarots « dans la lignée d’Aleister Crowley » .
- L’équipe paroissiale y autorise des concerts intitulés « Messe Noire – Wesh Demon »
- On diffuse organise des projections de films et des danses faisant l’apologie de spiritualités telles que le chamanisme, candomblé brésilien, etc…
- on y fête le culte des morts mexicain, pratique païenne.
- On y invite le Collectif « Sin » (= »péché »), qui s’amuse à faire porter un énorme transistor à la statue de Jésus crucifié.
- Ainsi qu’une série d’autres provocations dont les photos seront plus parlantes que des mots.
Il serait temps que le nouvel archevêque mette un peu d’ordre dans ce scandale.