Le Diocèse de “Charente” (on ne dit plus “le diocèse d’Angoulême”) se réorganise et se veut ouvert à tous. Ce diocèse n’arrête pas de se réorganiser. Les églises sont vides. On ne voit plus les prêtres et il n’y a plus rien dans les quêtes. Le diocèse est en faillite. Plusieurs églises sont fermées sur le centre ville d’Angoulême. Malgré cela, le diocèse emploie des salariés qui véhiculent des discours étranges et incohérents, comme la permanente de la pastorale des jeunes…
Le 15 mars, est paru le texte des orientations diocésaines : « … Pour que rien ne se perde » (Jean 6, 12) dont voici la présentation :
Riche d’un bel et fécond héritage, la Charente vit son histoire sainte avec le désir d’être fidèle au don reçu. Cette fidélité impose de créer du nouveau pour s’ajuster au réel, comme l’ont fait constamment nos prédécesseurs. Notre Église diocésaine s’inscrit dans la mission universelle de l’Église et veut vivre ce que le Pape François nous rappelle : « la joie de l’Évangile c’est la joie de l’Évangélisation ». Ce que nous avons reçu, nous devons le transmettre. La consultation diocésaine de l’automne 2017 fait apparaître l’importance de mieux se connaître, de s’accueillir, de rester ouvert sur les réalités qui nous entourent. Pour cela, nos communautés doivent toujours plus relire, discerner, s’engager, tout en veillant à l’unité dans les sacrements, la Parole méditée et la prière. De nouveaux lieux de partage et de ressourcement sont attendus pour vivre proches des différents modes de vie de notre temps et être aux « périphéries » de notre Église et de notre société. Cela, sans oublier la vie paroissiale qui reste le pivot de la vie chrétienne ordinaire où des membres doivent être suffisamment formés pour répondre aux différents appels. Cela ne peut se faire dans la paix et la confiance qu’en se disant toujours mieux : qui fait quoi, comment et pourquoi.
L’Évangile de Marc (8,1-6) nous rappelle que c’est au milieu de nos déserts personnels, de notre société, de notre Église, « lorsque nous n’avons rien à manger », que nous sommes appelés à trouver le Christ qui partage le pain et rassasie la foule. La faim représente l’attente d’une Bonne Nouvelle qui donnera du sens et ouvrira un avenir.
En ces jours-là, comme il y avait de nouveau une grande foule, et que les gens n’avaient rien à manger, Jésus appelle à lui ses disciples et leur dit : « J’ai de la compassion pour cette foule, car depuis trois jours déjà ils restent auprès de moi, et n’ont rien à manger. Si je les renvoie chez eux à jeun, ils vont défaillir en chemin, et certains d’entre eux sont venus de loin. » Ses disciples lui répondirent : « Où donc pourra-t-on trouver du pain pour les rassasier ici, dans le désert ? » Il leur demanda : « Combien de pains avez-vous ? » Ils lui dirent : « Sept. » Alors il ordonna à la foule de s’asseoir par terre. Puis, prenant les sept pains et rendant grâce, il les rompit, et il les donnait à ses disciples pour que ceux-ci les distribuent ; et ils les distribuèrent à la foule.
Ces orientations diocésaines n’ont pas vocation de tout dire ou de tout décider. Elles veulent surtout stimuler la foi des catholiques de Charente. À eux de se saisir des cadres diocésains renouvelés pour y exprimer le meilleur de chacun et apporter du bonheur autour d’eux. En partant d’une nécessaire proximité renouvelée (première partie), nous verrons comment revenir à la source et veiller à l’entretenir (deuxième partie), avant d’envisager une nécessaire mutualisation de nos moyens pour un nouvel élan missionnaire (troisième partie).
Les 13 doyennés issus du synode de 1988 sont regroupés en 5 nouveaux doyennés :
Vous y trouverez également quelques vidéos :
- Tuto 1 : Pourquoi des orientations diocésaines ?
- Tuto 2 : Pourquoi ce titre ?
- Tuto 3 : Des orientations missionnaires
Il est également envoyé aux délégués de chaque doyenné la carte du nouveau découpage territorial du diocèse :
A suivre.
Selon une information livrée par un séminariste du diocèse, la communauté St Martin a été approchée par Mgr Gosselin. Elle est donc attendue là bas , mais on ne sait dans combien de temps.
“créer du nouveau pour s’ajuster au réel” avec ça, tout est dit !
Le diocèse de Vannes s’apprête aussi à fusionner ses doyennés et à réorganiser ses paroisses.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/ploermel-56800/ploermel-notre-dame-du-carmel-deviendra-un-lieu-de-vie-5619049
Incroyable cette constante référence à la Charente !
L’évêque confond il son diocèse avec un fleuve ou avec un département ? Se prend il pour un batelier ou pour un préfet ?
Regrette t il la constitution civile du clergé ?
A t il bonde du nom d’Angoulême ?
De l’eau tiède pour une église en décomposition.
Ce n’est pas en rêvant d’un monde de Bisounours et en refusant de remettre en avant la messe de toujours (en latin) que l’on va attirer dans nos églises de nouveaux fidèles.
L’église de Charente gère sa décadence et sa disparition.
Bientôt elle vendra ses églises vides aux communautés musulmanes si dynamiques.
Car il faudra bien que tous les migrants dont elle encourage la venue à la suite de Bergoglio trouvent un lieu de recueillement et de prière …
Petit message d’un membre de cette Église soit disant “en décomposition”…vous m’inspirez la charité avec vos lamentations . J’ai 35 ans, 4 enfants et je peux vous assurer que nous prions dans nos églises à Angoulême, que nous chantons, que nous sommes accueillants et tout cela parce que nous sommes joyeux et fiers d’être les parties de ce beau corps qu’est l’Église de Charente, au cœur de l’Église mondiale, derrière son merveilleux Pape François! Je prie pour que votre cœur s’ouvre. Je ne vous connais pas, mais nous nous rencontrerons dans la prière . Je prie pour que nous nous croisions un jour et que nous puissions discuter et grandir ensemble, entre frères. J’ai CONFIANCE EN TOI JÉSUS!” Caroline
DEUX DÉFINITIONS A NE PAS OUBLIER:
DÉCLIN= perte de l’énergie vitale,
DÉCADENCE= abandon des vertus qui nous avaient faits ce que nous sommes.
On sourit en contemplant le verbiage habituel des catholiques d’après le concile : banalités, prétention, présomption aussi.
Sans compter la suffisance de ceux qui ont tout raté dans leur sacerdoce mais qui présentent quand même leur “chemin” (lisez “faillite”) comme imparable….
Oui, on sourirait, si ce n’était pas dans le fond bien triste de voir à l’œuvre ces fossoyeurs de l’Eglise !
Vite, que cette fausse église disparaîsse.
La vraie, ne mourra jamais et se relèvera sur les cendres de la trahison hérétique.
Ne perdons pas la foi, continuons d’espérer et de prier.
rien compris à cette lettre.Elle veut en venir ou la Madame??