Pesant trois millions d’euros, le denier représente un tiers des ressources du diocèse de Rennes. La campagne de 2016 s’est élevée à 3,13 millions d’euros. Ces sommes contribuent intégralement à verser le traitement aux prêtres et religieux en activité dans les paroisses, régler leurs cotisations maladie et retraite et financer les maisons de retraite des prêtres retirés.
Cela finance 241 prêtres en activité (le salaire mensuel net d’un prêtre est de 910 € et son « coût de revient » annuel pour le diocèse d’environ 20 000 €) et 63 prêtres retirés; Il faut ajouter celle des futurs prêtres (douze séminaristes actuellement), les salaires des 88 employés de paroisses et de presbytères et les salaires des 67 laïcs en mission pastorale. Au total, les effectifs du diocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo comptent plus de 400 personnes. Le budget diocésain grimpe même à près de 9 millions d’euros quand on ajoute les frais de fonctionnement des paroisses. Ces derniers sont principalement couverts par les quêtes (2,2 millions d’euros), les offrandes de cérémonies (1,4 million d’euros). Les legs, en baisse, pèsent encore 900 000 €.
On ne sait pas si parmi les 88 employés et les 67 laïcs, il y a des membres du MRJC…
Par ailleurs, le diocèse finance la fabrication de 4 statues, qui seront installées dans les pendentifs de la croisée du transept de la cathédrale. Laurent Esquerré, l’artiste sélectionné, va les sculpter en Italie. L’ensemble doit être inauguré pour Noël 2018. Le père Bernard Heudré, curé de la cathédrale et historien de l’Église au séminaire Saint-Yves, explique le projet :
« C’était prévu dès l’origine du projet de l’édifice. Mais, au début des années 1880, les travaux entrepris ont été arrêtés. Il aura fallu attendre presque 140 ans… ».
« Il s’agit d’un ensemble de statues en terre cuite qui représenteront les tétramorphes symboliques des quatre évangélistes, associés à des scènes tirées des Évangiles. L’homme pour saint Matthieu, le lion pour saint Marc, le taureau pour saint Luc et l’aigle pour saint Jean. »
Depuis ces dernières semaines, je découvre le budget des diocèses ; bien sur je savais qu’il faut donner aux pretres de quoi vivre et payer cotisations sociales et s’occuper de leur retraite et c’est des plus normal . Par contre je suis effarée de voir le nombre de salariés ou employés par les évéchés ou paroisses… je conçois bien qu’il faille avoir des personnes qui s’occupent de travaux de secrétariat ou comptabilité ou autres (mais quoi?) mais cela ne pourrait il pas être fait en grande partie par des bénévoles ? merci à ceux qui me renseigneront
En tout cas ce n est pas dans la liturgie que sont affectées les dépenses. Celle ci est tres pauvre en certaine paroisse,Sobriété exige, cela laisse pantois … les ornements ont disparu, pourquoi faire dans la friperie quand on peut faire dépouillé. Le mobilier d ´eglise lui est renouvellé: s il peut faire oublier ce que certains ecclésiastiques qualifient de réminiscences de la fausse messe…et bien entendu dans des églises fermées auxquelles on ne peut plus avoir accès. Alors excusez moi du peu, mais le Père heudré peut toujours nous servir que ses tretramorphes sont indispensables à la cathédrale qui pourtant s en est passé , il ne trompe personne sur l empreinte qu il compte laisser de son passage…. tout comme le reste du mobilier , il meuble au gréé des humeurs de l archevêque à moins que ce ne soit l inverse. Quoiqu il en soit, une seule question: combien comptez vous dépenser pour permettre de rendre un culte décent dans un lieu décent aux paroissiens de saint François ? Ah j oubliais , La on peut prendre mais donner! Que nenni. Merci pour l équité de la gestion et La répartition des financements diocésain.