A un diocésain qui demandait si son diocèse finançait le MRJC, le service communication du diocèse de Versailles a répondu :
Le diocèse de Versailles n’accorde à ce mouvement aucune subvention. Les organismes qui bénéficient du soutien du diocèse – participations plutôt limitées de quelques centaines à quelques milliers d’euros- sont essentiellement des congrégations religieuses qui effectuent un service auprès du diocèse et à qui nous demandons une lisibilité sur leurs comptes, la Délégation Catholique pour la Coopération par le biais de laquelle un certain nombre de jeunes et d’adultes du diocèse partent en mission chaque année, la communauté des sourds de notre diocèse, ainsi que certains diocèses de la Province Ecclésiastique de Paris (Saint-Denis, Meaux ou Pontoise) : nous leur demandons également des comptes précis sur l’utilisation de la subvention reçue de notre part.
Soucieux de la bonne utilisation des dons des fidèles, Mgr Aumonier accorde des subventions limitées et veille à en contrôler l’utilisation. Il suit de très près la mise en garde de la Conférence des Évêques de France à la MRJC afin de s’assurer que tout mouvement subventionné respecte l’enseignement de l’Église.
Le Denier de l’Eglise est en majorité utilisé pour nos prêtres et nos prêtres âgés, la pastorale au profit des paroisses et pour les paroisses elles-mêmes (aide au fonctionnement quotidien et à l’entretien immobilier).
Pourquoi ce logo mentionnant les Yvelines ? Un évêque n’est pas un préfet ! Un diocèse n’est pas un département !
Sauf sous la Révolution, les diocèses et les évêques ont toujours été désignés par le nom de la ville siège de la cathédrale (Versailles en l’occurrence même si le cas est un particulier : le diocèse n’a été créé qu’en 1801 et le département en 1966) .
Pour le reste Merci monseigneur !
C’est bien, et cela mérite d’être salué, mais le diocèse des Yvelines doit bien verser de l’argent à la CEF ?
Et là, il ne contrôle plus…..
Merci Monseigneur.
La transparence sur la gestion soit devenir la norme. Nous voulons savoir que finance notre argent, et en particulier savoir si nous financons les discours de nos ennemies (pro-avortement, pratiques homosexuelles, theorie du genre, etc).