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Dax: un directeur d’école catholique refuse un spectacle queer
Pas de spectacle de marionnettes queers pour les élèves du groupe scolaire Saint-Jacques-de-Compostelle de Dax:…
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Jean-Marc Sauvé défend la présomption d’innocence
Dans un entretien donné à La Croix, Jean-Marc Sauvé, l’ancien président de la CIASE, était…
Dieu n’a t ‘il pas dit pour pardonner ” va et ne pèche plus ” On peut pardonner la faute mais pas s’en accommoder !
Le Christ a dit” va et ne pèche plus” pardonner le péché oui mais pas s’en accommoder ! accepter c’est l’encourager dans l’erreur et ne l’engager à se ressaisir . La voir elle oui pour ne pas couper les ponts , peut ^tre mais pas avec sa pseudo famille
Pourquoi ressortir la Parabole du Fils Prodigue à toutes les sauces? Le Fils Prodigue a été accueilli dans les bras du Père parce qu’il s’est repenti, ce que le Père attendait patiemment. Je ne sais pas ce que je ferais dans une telle situation qui me révolterait aussi, mais attention de ne pas accepter le péché sous prétexte de charité. Dieu est tendresse, oui, mais le péché le révolte aussi.
L’homosexuel existe-t-il? J’en doute. On peut pratiquer des actes d’homosexualité ou de zoophilie sans être homosexuel ni zoophile. Avant on parlait de vieux garçon ou de vieille fille. C’était souvent avec un peu de dédain. Alors ceux-ci se sont déclarés homosexuels. pour qu’on les considère. Et puis il y a la mouvance franc-maçonne qui a inventé l’homosexuel honorable sans qu’il existe pour contrer le catholicisme.
membre de ce diocèse depuis plus de cinquante ans, le lecteur aura compris où nous sommes arrivés ! J’ai écrit sur mon blog l’histoire de cette décadence monstrueuse. Les censures romaines ne sont pas arrivées à juguler le désastre ; avec l’arrivée de ce pape c’est un tsunami !
Encore 4 ans à tenir !
Quel égarement !!!
Oui c’est vraiment la décadence !
et bien moi, je trouve ce témoignage très courageux et empreint d’une grande justesse ; cette maman ne nous dit pas qu’elle est d’accord, la preuve elle était même arrivée à la rupture avec sa fille…mais simplement qu’elle l’aime comme une mère aime sa fille et qu’après un temps de réflexion, de conseils et sans doute de beaucoup de prière, elle a décidé de faire ce que nous conseille le Christ, laisser parler son amour; c’est Jésus qui dit va et ne peche plus et non pas la mère et c’est Dieu qui jugera sa fille quand son temps sur terre sera terminé, quant à sa mère c’est aussi Dieu qui jugera de son amour et surement de sa souffrance par rapport à cette situation bien douloureuse pour des parents croyants!
tres beau message. merci a vous
Qu’en termes élégants, ces aberrations sont dites ! Toute l’inversion du dogme catholique, permise par le libéralisme de VII, est exposée ici dans son évidence. Que Dieu les éclaire !
D’accord avec Noel.
HRE, moi, je sais comment je réagirait… en espérant pouvoir évoluer, non pas dans mon acceptation de cette situation d’abomination, mais dans le maintient de mon amour pour mon enfant. Il ne s’agit pas d’accepter le pêché mais la personne, malgré son pêché. Cela dit, je ne supporte pas des “homosexuels” ( d’accord aussi avec Joseph2 ) qui se papouillent en public comme des ados en rut ! Un homme de mon entourage familial, la cinquantaine, se comporte avec son giton comme un boutonneux qui a réussi à “pécho” une gamine de sa classe.
L’erreur la plus grossière est de parler de la relation entre sa fille et sa compagne en termes de “mariage”. Même le Pape François a été très clair là-dessus : le terme mariage s’applique uniquement à une relation entre un homme et une femme. Une relation entre deux femmes ou entre deux hommes n’est pas, et ne sera jamais, un mariage.
Ce qui marque, c’est que ce témoignage, sans doute authentique, tourne autour du “moi je, moi je, moi je”.
De fait, à un moment, on doit prendre des décisions sur notre propre conduite, concrètement.
Ce qui fait tiquer, c’est la phrase : “comment aimer ma fille sans lui recommander une autre voie”. Cette dame associer recommander une autre voie à un manque d’amour. Ce qui est faux. Elle a surtout propre d’être rejetée, et d’être en contradiction avec ses propres préjugés (recommander c’est mal). A l’existence de ces préjugés, on peut se demander si le terrain n’était pas déjà miné.
C’est par amour pour les gens qu’il faut leur indiquer, peut-être pas ce qu’ils doivent faire (encore que là, c’est quand même une mère qui s’adresses à sa fille : pour elle c’est je crois un devoir d’état), mais au moins ce qui les attend s’ils poursuivent cette route.
Et puis il y aussi le cas des petits enfants, qui sont complètement instrumentalisés par le désir des deux dames. Pour eux aussi, je ne sais pas si se taire est la meilleure des choses à faire.
Donc, ne pas juger et ne pas recommander me semble surtout fondé sur l’amour de soi, alors que l’amour des autres n’hésite pas à avertir s’il voit l’autre sur une route objectivement périlleuse.
Prions pour cette dame et tous ceux mentionnés dans cette histoire,
On aimerait plutôt que Monseigneur honore :
– les couples qui se sont préparés à recevoir le sacrement du mariage sans vivre ensemble avant
– les parents qui accueillent de nouveaux enfants comme il est enseigné par la sainte Eglise
– les parents qui veiilent à donner une éducation à leurs enfants, plus que payer des boîtes à bac pour accéder à des métiers “rentables”,
– les enfants qui veillent sur leurs parents âgés,
– les familles qui veillent à ce qu’un des leurs, au seuil de cette vie présente, soient respectés comme la loi naturelle le recommande
– les mères qui ont gardé leur enfant à naître malgré toutes les pressions que l’on peut imaginer
– les salariés, qui à travers des syndicats se référant à la morale sociale chrétienne, défendent les entreprises, ou plus exactement “l’intérêt social” et non “le capitalisme financier”,
etc.
Monseigneur a de quoi écrire dans la presse locale ou dite “catholique”, toutes les semaines, et ce serait bien.
“Aussi Dieu les a-t-il livrés selon les convoitises de leur cœur à une impureté où ils avilissent eux-mêmes leurs propres corps (…) Aussi Dieu les a-t-il livrés à des passions avilissantes : car leurs femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature (…) Et comme ils n’ont pas jugé bon de garder la vraie connaissance de Dieu, Dieu les a livrés à leur esprit sans jugement, pour faire ce qui ne convient pas (…) connaissant bien pourtant le verdict de Dieu qui déclare dignes de mort les auteurs de pareilles actions, non seulement ils les font, mais ils approuvent encore ceux qui les commettent (Rm 1.24-32).”
Je trouve cela honteux de faire de la publicité pour le comportement de cette mère de famille ne sachant plus demander à sa fille de se couper la main et arracher l’oeil plutôt que de pécher, alors même qu’en ce qui concerne “la fornication, et l’impureté sous toutes ses formes, ou encore à la cupidité, que leurs noms ne soient même pas prononcés parmi vous : c’est ce qui sied à des saints. (Ep 5.3)”