Pour la Journée mondiale du migrant et du réfugié, Monseigneur Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la Conférence des évêques de France ; Monseigneur Georges Colomb, Évêque de La Rochelle et Saintes, membre de la Commission épiscopale pour la Mission universelle de l’Église au titre de la pastorale des migrants et Monseigneur Denis Jachiet, Évêque auxiliaire de Paris, membre de la Commission épiscopale pour la Mission universelle de l’Église au titre de la pastorale des migrants ont publié une tribune intitulée : » Migrants : trouver une réponse commune ».
Parmi les mesures proposées, beaucoup sont politiques et devraient être évaluées en fonction de la vertu de prudence en vue du bien commun, termes absents de cette tribune… Le flot massif de réfugiés ne permet pas un accueil et moins encore une intégration correctes. Leur origine géographique crée des tensions propres au choc des cultures, mais surtout, la religion des migrants est, en elle-même, un problème. Aussi, poser la question en termes d’accueil du migrant ou du réfugié est un leurre. Bien entendu le catholique a une culture de l’accueil par sa génétique charitable. Mais le fidèle est aussi appelé à défendre sa foi, sa culture, sa civilisation chrétienne et à la promouvoir… La dialectique du migrant est un brûlot de diversion, permettant à l’islam d’affermir ses positions sur notre propre sol. Nous ne sommes pas dans une dynamique d’accueil du réfugié, pour l’écrasante majorité des migrants, mais face à l’obligation de défendre notre foi et notre culture. Accueillir suppose de discerner. Et le premier discernement, dans notre contexte mondial actuel porte bien sur les intentions des migrants, comme de ceux qui facilitent un tel mouvement.
Voici la tribune des évêques :
Au cours de la dernière année, le Pape François, qui a fait de la question migratoire un marqueur fort de son pontificat, s’est exprimé à de nombreuses reprises à ce sujet en développant une approche nouvelle articulée autour des verbes : « accueillir, protéger, promouvoir, intégrer ». A la veille de la journée mondiale du migrant et du réfugié, nous, évêques de France, souhaitons indiquer les actions qui, dans le contexte français et pour chacun des quatre verbes, nous paraissent être prioritaires. Parmi elles, certaines pourront nourrir un plaidoyer préalable aux négociations des pactes mondiaux de 2018.
Accueillir
« Qu’as-tu fait de ton frère ? » Les milliers de morts, parmi les déplacés contraints d’entreprendre des voyages périlleux pour atteindre l’Europe afin d’y demander la protection à laquelle ils aspirent, est un scandale auquel personne ne peut se résigner. Les personnes contraintes de fuir leur pays ont le droit de requérir une protection sans qu’il leur faille pour cela ajouter aux risques initiaux ceux d’un parcours incertain. Le leur permettre est pour notre société un impératif, tant légal que civilisationnel.
A la suite du Pape François, nous pensons que les voies d’accès légales permettant aux personnes menacées de se rendre en France pour y demander l’asile doivent être élargies. Nous demandons ainsi à l’État de développer ces voies d’accès en France – notamment via l’octroi plus important de visas humanitaires et l’élargissement des programmes de réinstallation -, et de les promouvoir au niveau européen et international, notamment lors des négociations des pactes mondiaux de 2018.
A sa mesure, et avec d’autres, l’Eglise s’engage déjà sur ce chemin. En mars dernier, la conférence des évêques de France, en partenariat avec le Secours catholique, la Fédération protestante de France, la Fédération d’Entraide Protestante et la communauté de Sant’Egidio, signait avec l’Etat un protocole portant sur la mise en place de « couloirs humanitaires », permettant à 500 personnes parmi les plus vulnérables actuellement réfugiées au Liban, de venir en France pour y demander l’asile. S’il demeure modeste, ce programme n’en est pas moins précieux, notamment par son caractère modélisant.
Nous entendons la crainte sécuritaire que beaucoup expriment devant la situation migratoire actuelle ; nous en sommes convaincus, cette situation se révèle d’autant plus anxiogène que l’arrivée des personnes semble parfois trop peu organisée. Dans ce contexte, la mise en place de voies d’accès légales et sûres apparaît d’autant plus souhaitable qu’elle permet précisément d’organiser l’accueil et, ce faisant, de concilier la sécurité de nos concitoyens et celle de personnes en quête de protection.
Ne nous leurrons pas cependant : le développement de voies légales ne tarira pas l’arrivée spontanée d’exilés vers la France et plus largement vers l’Europe ! Les chemins qu’ils prennent et prendront seront encore dangereux et éprouvants, et leur besoin d’accueil et de protection nous obligeront, demain comme aujourd’hui. Dans ce contexte, l’existence de voies d’accès légales et sûres ne doit en aucun cas être utilisée comme prétexte pour renvoyer ces exilés vers les pays de transit qu’ils ont traversés. A cet égard les projets européens visant à donner corps à la notion de pays tiers sûrs nous préoccupent.
Il n’y a pas d’accueil véritable sans accompagnement du chemin d’intégration. A la suite du Pape François, nous pensons ainsi que les dispositifs publics d’accueil des réfugiés peuvent être complétés par le développement de programmes de parrainage par des collectifs citoyens. Par leur caractère diffus, de tels programmes offrent aux nouveaux arrivants la possibilité d’une réelle intégration sociale, laquelle fait souvent défaut dans les dispositifs d’accueil où les arrivants sont regroupés entre eux.
Outre le bénéfice pour les personnes accueillies elles-mêmes, ces programmes, partout où ils sont mis en œuvre, génèrent du dynamisme et se révèlent créateurs de liens. Les chrétiens engagés au sein de collectifs d’accueil, avec leur paroisse, dans le cadre du projet des couloirs humanitaires, avec le service jésuite des réfugiés ou encore avec l’Ordre de Malte par exemple, en témoignent : des acteurs aux sensibilités éloignées collaborent, des territoires se dynamisent, des cœurs se convertissent, etc.
Nous saluons l’engagement de tous les citoyens, chrétiens ou non, qui s’investissent au sein de tels collectifs. Tout en rappelant à l’Etat ses obligations en matière d’accueil, nous demandons aux chrétiens d’accroître leur engagement en ce sens et, au-delà du soutien administratif, de l’enseignement du français ou encore de l’insertion professionnelle, nous les invitons à se positionner plus spécifiquement sur le créneau de la convivialité afin de donner corps à la valeur de la fraternité.
Protéger
L’élaboration et la mise en œuvre d’un nouveau cadre législatif ne doivent en aucun cas conduire à aggraver le cas de nombreux migrants déjà présents sur notre territoire et se trouvant pour certains en situation de très grande vulnérabilité. Conformément à l’enseignement de l’Église, nous rappelons avec force que chaque personne, quel que soit son statut légal et le sort réservé in fine à sa présence dans notre pays, doit être traitée d’une manière qui, en toutes circonstances, respecte sa dignité.
Parmi les personnes les plus vulnérables, nous tenons à exprimer ici une préoccupation particulière pour la situation des jeunes migrants, et plus spécifiquement pour celle des mineurs non accompagnés dont le nombre, dans notre pays, ne cesse de croître. De diocèses toujours plus nombreux nous parviennent des cris d’alarme quant à la situation de ces jeunes, laissés le plus souvent sans protection, et, pour certains, renvoyés à la frontière, au mépris de leurs droits les plus élémentaires.
La situation dans les territoires frontaliers apparait ainsi particulièrement préoccupante. Dans le Briançonnais mais aussi dans la vallée de la Roya dans les Alpes maritimes, le nombre de mineurs tentant d’entrer en France – parfois au prix de grands périls lorsqu’il leur faut traverser la montagne par leurs propres moyens – augmente de façon significative depuis maintenant deux ans. Parmi eux, trop sont interceptés et renvoyés en Italie, sans qu’il leur soit possible de faire respecter leurs droits.
De nombreux citoyens, parmi lesquels des chrétiens, s’engagent individuellement ou collectivement pour aider ces jeunes à obtenir la protection à laquelle ils aspirent et à laquelle ils ont droit. Nous saluons cette mobilisation et l’encourageons. Comme toutes celles qui se mettent spontanément en place lorsque les plus fragiles sont menacés, celle-ci manifeste que nos concitoyens sont capables d’un sursaut lorsque le plus sacré est atteint. Cet exemple doit inciter l’État à assumer ses responsabilités.
Un mineur non accompagné est un mineur en danger ! Ceci est, en définitive, la seule considération à prendre en compte. Animés par cette conviction, nous rappelons aux responsables politiques que les situations de vulnérabilité des mineurs non accompagnés doivent être traitées en accord avec la convention internationale des Droits de l’Enfant et nous les invitons à agir pour que soit effectivement garantie à ces mineurs en danger la même protection que tout autre enfant privé de son milieu familial.
Enfin nous ne pouvons évoquer le cas des mineurs non accompagnés sans évoquer le moment crucial du passage à la majorité qui, dans les faits, constitue souvent pour ces jeunes une période de grande fragilisation. Pour éviter que tout ce qui a été construit soit alors remis en cause, nous pensons que des mesures légales visant à pérenniser leur droit au séjour et à favoriser leur intégration devraient être prononcées. Notre pays a le devoir d’accompagner, sur le long terme, la construction de leur futur.
Promouvoir
Le Pape François nous invite à promouvoir le développement humain intégral des migrants. Cet appel qui s’enracine dans la tradition de l’Église est fondé sur la conviction profonde que «tous peuvent apporter une contribution à l’ensemble de la société, tous ont une particularité qui peut servir pour vivre ensemble, personne n’est exclu en vue d’apporter quelque chose pour le bien de tous ». Cette contribution n’est pas seulement un droit mais aussi un devoir à l’égard de soi-même et de la société.
Nous en sommes convaincus, migrants ou non, l’exercice de ce droit et de ce devoir passe en premier lieu et de façon privilégiée par l’accès au travail. Outre qu’il permet à chacun de subvenir à ses besoins, le travail constitue en effet une dimension fondamentale de l’existence humaine, par laquelle la vie de l’homme est construite chaque jour et où elle puise sa propre dignité spécifique. Par le travail, l’homme se réalise en tant que personne et trouve sa place dans une véritable communauté humaine.
Dans les permanences d’accueil de nos diocèses, de nos associations, nous entendons le désir exprimé par beaucoup de personnes de contribuer à la vie de la société et la frustration, parfois la souffrance, que celles-ci ressentent lorsqu’elles ne peuvent le faire par leur travail. Ceci est particulièrement vrai de nombreux migrants, notamment ceux se trouvant en phase de demande d’asile auxquels la loi ne permet pas de travailler avant le dixième mois. Nous souhaitons ici nous en faire les porte-voix.
Certains trouvent dans nos mouvements ou nos associations des occasions d’engagement bénévole. Nous nous en réjouissons et saluons les structures qui rendent cela possible. De tels engagements contribuent en effet efficacement au développement des personnes, leur permettant de sortir du rôle de bénéficiaires auquel elles sont de fait trop souvent cantonnées pour (re)devenir contributrices. Ceci étant, une action résolue de l’État en faveur de l’insertion professionnelle demeure indispensable.
Nous demandons ainsi aux responsables politiques d’accorder aux personnes, ce dès les premiers mois de la phase de demande d’asile, la possibilité de travailler. De la même manière, l’accès aux études et à la formation professionnelle doit être effectivement ouvert aux personnes se trouvant en cours de procédure. Plus généralement, la reconnaissance des compétences des migrants doit être promue et, si cela s’avère nécessaire, des éléments de remise à niveau doivent pouvoir leur être proposés.
Nous en sommes conscients, l’absence d’une maîtrise suffisante de la langue constitue souvent un frein à l’intégration sociale et professionnelle. Nous demandons ainsi aux responsables politiques de reconstruire un dispositif global pour permettre un accès immédiat à l’apprentissage du français. Celui-ci devrait reposer sur des professionnels qualifiés, dans le cadre d’un dispositif public financé, associant les acteurs volontaires de la société civile. Nous encourageons les chrétiens à s’engager en ce sens.
Enfin, comment devenir membre actif d’une société, capable d’y apporter sa contribution, si ses valeurs, son patrimoine, ses codes nous demeurent étrangers ? Aujourd’hui, de nombreux chrétiens s’engagent concrètement pour permettre aux nouveaux arrivants d’accéder à une meilleure compréhension de notre société. Nous saluons ces initiatives et, convaincus qu’il y a là une vraie façon d’ouvrir notre porte à nos frères et sœurs migrants, nous encourageons leur développement.
Intégrer
L’intégration est un processus long et complexe qui ne peut se réaliser pleinement que dans un climat positif à l’égard des migrants et de ceux qui les y accompagnent. Aussi, et sans minimiser les difficultés, nous semble-t-il essentiel de promouvoir une présentation positive des migrants et de la solidarité à leur égard. A la suite du Pape, qui nous invite à regarder les uns et les autres avec un regard rempli de confiance, nous invitons tous nos concitoyens et en particulier les chrétiens à convertir leur regard.
La présentation positive des migrants passe par la mise en valeur des éléments de leur patrimoine culturel et spirituel susceptible d’enrichir la communauté nationale ainsi que par la mise en lumière de leur désir de contribuer concrètement à la vie de la société toute entière. Elle passe aussi, et peut être en premier lieu, par un discours honnête sur les motivations qui ont poussé ces personnes à rejoindre notre pays, motivations que l’on réduit trop souvent de manière orientée au seul critère économique.
En mettant en lumière ces motivations, on réalisera que beaucoup ont été guidés sur le chemin de l’exil par l’espoir de trouver la paix, le désir de déployer pleinement leur humanité, d’exprimer leurs talents, de vivre librement leur foi, etc. Dans ces motivations, chacun pourra reconnaître les aspirations d’hommes et de femmes de bonne volonté. Ceux disposés à le voir sauront aussi y déceler, en creux, une bénédiction sur un pays aux nombreux atouts mais trop souvent enclin à douter de lui-même.
Cette bénédiction, nous, chrétiens, l’expérimentons concrètement dans nos communautés paroissiales, lesquelles, pour beaucoup, trouvent dans la présence des migrants un nouveau souffle. Nous encourageons les chrétiens à témoigner de cette richesse et à s’engager pour la promotion d’une authentique culture de la rencontre, notamment par l’organisation de rencontres entre migrants et autochtones, à l’occasion desquelles les uns et les autres pourront échanger en vérité et dans la paix.
Parallèlement à cette présentation positive des migrants, il nous semble essentiel de promouvoir une présentation positive de ceux qui, à leur égard, font preuve de solidarité. Trop souvent en effet, ces derniers se retrouvent, au nom même de leur engagement, objets d’hostilité. A cet égard, nous sommes vivement préoccupés par les poursuites pénales dont certains font l’objet, et nous invitons les responsables politiques à tout mettre en œuvre pour faire cesser cette pénalisation de la solidarité.
Pour présenter de façon positive la solidarité à l’égard des migrants, encore faut-il savoir se rendre attentifs à « la créativité, la ténacité et l’esprit de sacrifice d’innombrables personnes, familles et communautés qui ouvrent leur porte et leur cœur à des migrants et à des réfugiés, même là où les ressources sont loin d’être abondantes ». Or, notre regard ne se focalise-t-il pas, trop souvent encore, sur les manques, oubliant de voir les fruits d’humanité qui, autour de nous, croissent et se déploient ?
Nous invitons ici les chrétiens à cultiver une attention particulière aux actions positives mises en œuvre en faveur des migrants et à s’efforcer de les faire connaître autour d’eux afin de devenir, au sein de notre société, les promoteurs de ce regard de confiance. Qu’ils en soient convaincus, ils permettront ainsi au bien de fructifier et, en évitant, par une focalisation excessive, d’enfermer les plus réticents dans leur repli, ils contribueront à l’avènement d’une société réellement plus inclusive et fraternelle.
Accueillir, protéger, promouvoir, intégrer : comme le souligne le Pape François, « conjuguer ces quatre verbes à la première personne du singulier et à la première personne du pluriel constitue un devoir de justice, de civilisation et de solidarité ». Nous lançons ici un appel solennel aux chrétiens et à tous les hommes et les femmes de bonne volonté pour qu’au sein de leur paroisse, d’un collectif, d’un mouvement ou d’une association, ceux qui le peuvent, s’engagent sur l’une ou l’autre de ces priorités.
Faire du loup un agneau avec qui nous partagerons les pâturages. Et chercher la Paix dans le livre de la religion d’amour et de paix. Moi, j’y crois !
C’est un texte purement politique et c’est une trahison.
Désaccord complet avec la tribune de l’équipe Pontier/Colomb, bien entendu.
Ces deux gaillards démolissent la société de ce continent, encore de racines chrétiennes, mais plus pour longtemps avec de telles divagations.
Au nom du bien commun de tous et au nom de la séparation des pouvoirs temporel et spirituel, Pontier, Colomb, Bergoglio, taisez-vous !
Shut up !
La CEF fait des déclarations de plus en plus inquiétantes : ici, il s’agit d’un sommet dramatique ; cette tribune confine à l’imbécillité -au sens propre- écrite par des gens déconnectés du réel, inconscients et vraiment hors-sol, qui font le jeu du mondialisme libéral-libertaire le plus pur, en vrais collabos suiveurs du pape; ce sont des gens qui ne savent pas ce qu’est le travail (chercher un emploi, en trouver ou pas, se faire licencier, être sous pression jusqu’au burn-out, etc…), et qui ont une vision magique de l’argent (il suffit de dire à leurs ouailles de donner au denier du culte ou de faire des legs, et ça tombe tout seul dans l’escarcelle, ça rappelle le fameux ”c’est pas cher, c’est l’état qui paye”).
Amalgame insupportable de l’emploi du mot ”migrant”, mettant dans le même sac et sans distinction le vrai réfugié politique, le profiteur amateur de femelle blanche, le naïf exploité par les réseaux de passeurs, l’amateur terroriste manipulé, le mâle planqué qui fuit son pays en laissant sur place sa famille, le faux mineur de plus de 20 ans, …
Il ne serait pas difficile de faire une analyse systématique de ce texte pour en monter la débilité moralisatrice et culpabilisante ; je me contenterai de poser une seule question à nos généreux épiscopes : lequel d’entre vous accueille dans son évêché des migrants, ne serait-ce qu’un seul, et si possible musulmans voire extrémistes ???, ”répondez”, comme disait Elkabbach !!
ACCUEILLIR… Que ne l’ont-ils fait lorsque des musulmans venaient frapper aux portes de leurs églises et que les curés les renvoyaient à la mosquée !
Il y aurait-il un délit de “non assistance à âme en danger” ? Si c’était le cas, les éventuels tribunaux ecclésiastiques seraient très encombrés…
On se moque de nous… de tous côtés.
Et les 220 000 migrants/an qu’on tue avant qu’ils aient pu franchir la frontière du ventre maternel, vous DEVRIEZ en parler à longueur de temps, de médias, d’émissions, de déclarations, de communiqués, d’homélies, …, Messeigneurs ; quels droits pour eux ?: mais le sujet est interdit par le système, omerta maffieuse, alors on cause de sujets mondains et consensuels.
AMEN
Qu’avez vous fait …..vous,……rien….. qu’ont ils fait tous les soi-disant….. élites…..politiques et autres,….rien…. qu’est qu’ont fait toutes ces associations qui ont des subventions…..secours catholique …..populaire……et …..autres…….pour les Français, les vieux et autre…….Rien…..car les journaux n’en parleraient pas, il est bien d’en parler, mais faire……rien, ….dans la vie il vaut mieux être que paraître, vous demandez de l’argent et vous ne faites …….rien……néant…..avant de faire pour les illégaux de toutes sortes……regardez comment vont les Français et après dans la discrétion , vous pourrez faire pour tous.
Quelle brosse à reluire vis-à-vis du pape, alors même qu’en plus, ce dernier est en train d’entrainer toute l’Eglise dans son hérésie d’Amoris laetitia !!!
Elle est belle, l’Eglise qui est en France aujourd’hui….
Il est faux de dire que les migrants sont contraints de prendre des risques pour arriver jusqu’à nous. Ils sont tous VOLONTAIRES, ont payé très cher des passeurs et connaissaient les risques.
L’Etat et les évêques doivent-ils favoriser l’action ILLEGALE consistant à pénétrer sur le sol des pays d’Europe sans autorisation? Nous ne pourrions jamais pénétrer ainsi dans les pays d’où ils viennent, qui plus est, en nous prévalant de droits!
Le nombre des vrais persécutés, éligibles à l’asile est très restreint. Ceux-ci devraient pouvoir déposer des demandes initiales, rapidement et en secret, dans nos ambassades et consulats. Ils seraient ensuite en mesure d’entrer légalement mais provisoirement chez nous par avion et non sur des canots… Leur demande serait examinée de nouveau, pour un accueil définitif, avec leur famille, ou un RENVOI effectif. Le gouvernement français devrait établir une liste révisable mais stricte des pays de persécutions politiques et religieuses. Il est impossible d’admettre en Europe tous les ressortissants des pays en guerre, troublés ou pauvres de la planète! Il s’agit de milliards d’hommes! En Europe aussi, il y a beaucoup de pauvres et… l’Europe ne s’est pas vidée de ses habitants lors des deux guerres mondiales!
Le regroupement familial ne devrait être autorisé que pour les vrais réfugiés et JAMAIS pour les migrants économiques masculins ayant fui leur pays en y laissant leur famille dans la pauvreté et l’insécurité!
Un accueil d’urgence est nécessaire pour les premiers jours mais tout migrant inéligible à l’asile doit être renvoyé DANS SON PAYS, que ce pays soit d’accord ou non. La France est bien obligée de reprendre ceux de ses ressortissants qui ne l’ont pas trahie! Ceux qui ne voudraient pas révéler leur nationalité (papiers “perdus”) seraient emprisonnés ( bien traités), dans des centres, jusqu’à ce qu’ils consentent à dire d’où ils viennent. Agir autrement, c’est continuer à les attirer chez nous; ce qui est CRIMINEL envers eux, n’en déplaise aux évêques, car nous n’avons rien à leur offrir à l’échelle de centaines de milliers de personnes (ni travail, ni logement) et envers notre société qui est déstabilisée économiquement et dans son identité.
Les évêques et le Pape font comme si tous ces migrants étaient chrétiens et comme si notre société pouvait les intégrer. Il y a bien longtemps qu’on sait que c’est impossible (sauf cas particuliers et rares), surtout à cette échelle! On a un recul de 40 ans sur la question! Ces clercs ont-ils déjà cherché du travail et un logement pour eux dans leur vie? Ont-ils entendu parler des zones de non-droits? Veulent-ils qu’elles s’étendent encore? Veulent-ils que les musulmans deviennent majoritaires en France et prennent le pouvoir dans quelques années? Les évêques comprennent-ils qu’ils ULCERENT les laïcs catholiques, qu’ils les éloignent de l’Eglise, avec ces leçons de morale qui ne leur coûtent rien personnellement?
« -en quoi cette foule de migrant peut elle être associée au fleuve crachée par la bouche du Dragon? »
Réponse : Un fleuve commence par de petits ruisseaux qui se rassemblent pour former des rivières qui se rassemblent pour former un fleuve. II en est exactement ainsi des migrants qui se rassemblent géographiquement et s’écoulent vers les Pays d’Europe et vers la France.
« -qui est le dragon qui crache cette vague migratoire? »
Réponse : J’ai dit dans mon texte appelé deux prophéties éclaircies : Les clés que j’utilise sont :
Le dragon = autorité morale qui contraint par le nombre.
La bête = autorité contraignante par la force (politique = autorité sur la mer) ou la contrainte pécuniaire (patronat = autorité sur la terre).
>>> Le dragon rouge feu ayant sept têtes et dix cornes fait référence à Apo 17:3 “Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes.”
« -qui est symboliquement la femme qui est arrachée à ce fleuve de migrants? »
Réponse : La femme est l’église de Christ qui a enfanté l’enfant mâle qui doit paître les nations avec une verge de fer.
>>>Dans Apo 12:1, La femme enveloppée du soleil (le nouveau testament), la lune sous ses pieds (l’ancien testament) et une couronne de douze étoiles sur sa tête (les 12 apôtres).
« -qui est l’enfant mâle qu’elle a enfanté? »
Réponse : l’enfant mâle est celui qui doit paître les nations avec une verge de fer c’est à dire le Roi des derniers jours.
« En quoi l’Eglise de Jésus-Christ est-elle menacée par « ce fleuve de migrants »? »
Réponse :
– Parce que les politiques (la bête de la mer), les médias, les show-biz, ne défendent plus la foi chrétienne mais la mettent à égalité avec les autres religions, voire en-dessous. (critique des musulmans interdite et censurée, racisme interdit et censuré, antisémitisme interdit et censuré, homophobie interdite et censurée, adaptation aux moeurs musulmanes par le ramadan facilité, par la nourriture hallal facilitée, par les places dans les logements avec préférence aux migrants etc…)
– Parce que les Religieux (le dragon rouge feu) se mettent avec les politiques pour faire accéder les islamistes au même niveau que les chrétiens dans la hiérarchie du pays. (Le pape et sa visite à Lampéduza, les dirigeants d’assemblée évangélique qui sont pour les immigrés, les chrétiens mal affermis mais ayant de l’influence qui sont pour les migrants)
– Seuls restent fermes les appelés, les élus et les fidèles qui seraient balayés par les lois favorables aux migrants qui ne leur laisseraient aucune possibilité de lutter contre eux.
Comme les chrétiens n’ont pas le droit à la vengeance, c’est Dieu qui les vengera suivant leur demande qui s’exprime par les cris envoyés nuits et jours à Dieu.
« que signifie concrètement que « la Terre s’ouvrit pour les engloutir? » »
Réponse : Soit il s’agit de l’effet physique comme cela s’est passé pour Sodome et Gomorrhe (thèse que je privilégie)
Soit il s’agit d’un effet au 2è degré c’est à dire que c’est le patronat qui les absorbe (thèse que je trouve insoutenable vu que l’engloutissement est péjoratif, vu qu’on n’a pas besoin d’eux et en plus cet engloutissement sauve la femme d’être entraînée par le fleuve de l’esprit de l’Islam.