C’est le tweet immigrationniste du cardinal Barbarin. Il aurait écrit qu’il fallait leur apporter Jésus-Christ, je n’y aurai rien trouvé à redire… :
18 décembre, Journée internationale des migrants.
Leur donner le droit de travailler, surtout quand ils ont une promesse d’embauche. Une chance pour eux et un plus pour la France. +PB— Cardinal Barbarin (@CardBarbarin) 18 décembre 2017
Et ce n’est pas comme s’il y avait 2.700.000 chômeurs indemnisés en France !
Actuellement on compte 6 millions de chômeurs et 9 millions de pauvres en France. Incontestable.
Les femmes seules avec enfants, qu’elles soient issues de l’immigration ou de souche sont la part la plus importante des pauvres.
Je ne sais pas comment sont recensés les nouveaux arrivants pour qui n’y a Plus de poste de travail. Les promesses d’embauche sont infimes, cher Mgr Barbarin, et tendent vers zéro pour les migrants dits économiques, qui débarquent d’Afrique.
Beaucoup le savent mais ils parient sur les allocations de survie et l’AME ; ils n’ont pas tort puisque ça marche. Cette mendicité à long terme pour de jeunes adultes en forme, appelons les choses par leur nom, n’est pas épanouissante pour leur dignité humaine… Ni pour leur”développement intégral” prôné par l’Eglise.
En revanche bosser chez eux en travaillant dans l’agriculture, vitale pour nourrir ces immenses pays qui s’accroissent, est plus utile pour eux-même et leurs concitoyens. L’Afrique manque de charpentiers, plombiers, mécaniciens, installateurs d’électricité renouvelable. Les former là-bas, investir dans des lycées agricoles est infiniment préférable à les faire venir “avec femme(s) enfants, père, mère, grands-parents”, et les nièces et cousins rebaptisés filles et fils.
Les autorités religieuses qui n’ont jamais exercé un métier de développement matériel de leur vie devraient avoir l’humilité d’interroger les vrais spécialistes de la question avant de faire les anges pour les autres ex-cathedra ! Les saints, eux, sont toujours pragmatiques.
Les évêques africains qui connaissent la question, aident pour avoir les moyens de garder leur jeunesse sans qu’elle s’exile vers un Eldorado inexistant.
Sans compter tous les emplois fictifs dans le secteur public et dans les associations lucratives sans but ou à but assimilable à de la haute trahison.
Un grand scandale actuel est que, d’une part, il y a de nombreux chômeurs en France, et que, d’autre part, bien des employeurs ne trouvent pas à embaucher les personnes qu’ils cherchent. Les migrants acceptent souvent des travaux et métiers que les personnes présentes de longue date, come nos concitoyens nés ici, sont réticentes à accepter.. Toute affirmation péremptoire épargne de réfléchir et c’est fort dommage.
Dieu vous garde Joyeux et saint Noël
Garmon
@BERTRAND
Quand on vous donne un salaire 10, 20 ou 50 fois plus élevé que dans votre pays d’origine et à la condition qu’on y trouve un emploi, on est prêt à accepter n’importe quel travail en France. Et par contre, quand votre pouvoir d’achat est plus élevé avec l’aide sociale qu’avec le salaire minimum, on préfère rester dans son lit le matin.
Par ailleurs, au lieu d’élever les salaires dans les emplois peu attirants, l’embauche de “migrants” ne peut que tirer les salaires à la baisse, décourageant encore plus les autochtones à accepter ces emplois. Et les “migrants”, faux réfugiés et immigrés illégaux pour l’écrasante majorité, ne tarderont pas, une fois la nationalité française acquise, à se … reposer. Ou à profiter de la discrimination positive pour bénéficier d’emplois plus intéressants, au détriment des autochtones. Y avez-vous réfléchi ?!! Non et c’est fort dommage !
quand on méprise le mariage et l’Eucharistie le reste suit !
ce n’est pas 2,700,000 chomeurs, vous pouvez largement multiplier par 3 ou 4 . Ces évêques feraient mieux de faire le travail pour lequel Dieu les a choisis
Il y a longtemps que nombre d’évêques ne sont plus des hommes de foi mais des hommes politiques du Système.
Probablement parce qu’ils possèdent des savoir-faire qui ne sont pas maîtrisés par les autochtones…
C’est de l’humour j’espère !